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Un traité manichéen retrouvé en Chine : vol.1 | |
中国で発見されたマニ教に関する概論 : vol.1 |
[181] ---*-).( 205 ).c±.--
l'inscription , les dates extrêmes restent donc 8 o 8-8 2 1. NI. Rad-
lov avait cru lire dans la partie sogdienne le nom de l'année
du cheval (1), ce qui répondrait à 8 fi. Mais il tenait alors cette
partie sogdienne pour turque, et c'est sur le turc qu'est basée
sa lecture d'une date cyclique; il n'y a pas á en faire état
désormais (2).
Au-dessous du titre et sur la même ligne verticale doivent
être placées trois indications fragmentaires. Il y avait sans
doute un assez long espace vide entre la fin du titre et le début
du fragment que nous considérons comme le premier des trois.
Au-dessus du premier caractère de ce fragment, il reste en effet
la place d'au moins cieux caractères, sans que la pierre porte
trace d'aucune gravure; de plus le début de ce fragment marque
bien le début d'une titulature de fonctionnaire ouigour; il
semble qu'il n'y ait rien eu d'écrit sur la première ligne de la
pierre entre la fin du titre de la stèle et ce fragment. Ce pre-
mier fragment. (3) porte Ípí« EF llip , . Les trois premiers
mots, nei tsai-slang, ou cc grand conseiller de l'intérieur», se
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c'était une oeuvre contemporaine de notre inscription, en i o chapitres, et oh
egLi Fan racontait la vie de son père 7. 4. Li Pi (722-789); cf. à ce
sujet Kiun tchai tou chou tche, chap. 9, fol. 5 v°-6 r°; Tche tchai chou lou triai t'i, chap. 7, fol. 5 v°-6 r°.
()) W. RADLOFF [ V. RADLOV ] , Das Kudatku bilik, 1 re partie, p. Lxxxv. En 1908, M. Radlov (Die vorislamit. Schriftarten der Türken, dans M38. Hune/). Aima. Haya, p. 835) a donné 784 comme date probable de l'inscription; mais 784 n'est même pas une année du cheval, et d'ailleurs l'inscription, à cause des noms de qaghan qu'elle renferme, est forcément plus tardive.
11 n'en est pas question dans l'article de M. F. W. K. MiiLLER, Ein iranisches Sprachdenkmal.
Ces quelques caractères se trouvent sur le fragment 3 de la planche XXXII et sur la partie de gauche du fragment. 1 de la planche XXXIII de l'Atlas der Alterthüimer der Mongolei. Schlegel connaissait ce fragment (cf. Die chinesische lnschrift, p. i i ); on ne voit. pas pourquoi il a négligé d'en faire état dans sa reconstitution de la stèle. A la suite venait un caractère dont le baut était formé par la clef 14 o ; l'estampage du commandant de Lacoste suggère le haut de - yun, qui serait ici pris comme caractère de transcription ; mais la restitution est douteuse.
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