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Un traité manichéen retrouvé en Chine : vol.1 |
-444 318 ).c-{--.-- [3561 nus, etc.('). Pour ce qui est des textes des livres saints sans fonde- ment, on appelle ainsi [les livres] du genre du Tf, í t !!± f Fo fo t'ou lien che (Buddha, Buddha, maitre débordant d'aj ction) (), du T p u Fo chouo t'i lei ([Livre saint] sur les larmes, prononcé par le Buddha) (3), du d'N Ufa I J gie Ta siao ming ?rang tch'ou cite king (Livre saint de la venue dans le monde des grands et | ||
nous signalent alors la présence du manichéisme et des sectes. qui lui étaient plus ou moins apparentées. Hors du monde chinois, le Leao che (chap. 115, fol. 3 r°) note que les Si-hia traitent les maladies par des incantations et non par des remèdes. 01) Cf. supra , p. 107, 338.
1.ij %ling Hao (chap. 292, fol. 8 r°), parle d'un certain I titi Wang Tsö qui se révolta en 1°48. Ce Wang Tsö s'était affilié à une secte hérétique et avait étudié ales livres saints des Cinq dragons , des Larmes , etc. n tit te- mou-long ti-lei teng-king; on pourrait aussi traduire : a des larmes (lue versent les cinq dragonsn , mais notre version nous parait plus vraisemblable). Les a cinq dragonsn sont une vieille conception de la cosmogonie chinoise; nous ne savons quel ròle ils jouaient dans la littérature des sectes; pour J leur valeur ancienne, cf. le J.k Lou che (section yu-louen, chap. i), où l'aAr (les cinq dragons» constitue le deuxième des dix Agesn. Quant au livre | ||
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