National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
Digital Archive of Toyo Bunko Rare Books

> > > >
Color New!IIIF Color HighRes Gray HighRes PDF   Japanese English
0358 La Vie du Bouddha : vol.1
La Vie du Bouddha : vol.1 / Page 358 (Color Image)

New!Citation Information

doi: 10.20676/00000286
Citation Format: Chicago | APA | Harvard | IEEE

OCR Text

 

356   NOTES

oeuf (anda-ja, ovipare), ou d'une matrice (jarâyu° ou jalâbu ja, vivipare) ou sous l'action de la chaleur humide (samsveda ja) comme la vermine ; cf. BPh p. 75. Le nom skt -du nelumbo speciosum est padma. — 33 : le terme de deva-putra, littt « fils de dieu », souvent traduit en anglais par « angel », désigne tout le menu fretin des divins habitants des cieux, de même que celui de râjaputra, littt «fils de roi », embrasse tous les humains qui peuvent se réclamer d'une naissance noble (cf. les modernes Radjpoutes).

  1. 7 : tels sont du moins les cinq piirva-nimittâni d'après le DA p. 193. Pour une autre énumération v. BPh, p. 80. —17 : ce sont les quatre mahâvilokitâni du LV ch. ni p. 19 s. — 43 : tel est en fait- le procédé auquel a recours le MVU I p. 227-8 pour l'Illumination de Dîpankara.

  2. 43 : si la vie humaine était trop longue, la salutaire crainte de la mort prochaine ne ferait plus réfléchir les méchants ; si elle était trop courte, les bons n'auraient pas le temps d'en découvrir la foncière vanité. — 46 : le nom scientifique du jambu est Eugenia Jambolana.

  3. 1 : sur le Madhya-deça des bouddhistes v. supra p. 274. — 9 : est-il nécessaire de rappeler la hiérarchie bouddhique des quatre grandes castes (ou plus exactement « classes >) sociales de l'Inde : kshatriyas (membres de la noblesse d'épée), brâhmanas (en partie membres d'une sorte de clergé), vaiçyas (bourgeois des villes et des campagnes) et cadras (prolétaires) — et l'existence en dehors d'elles d'une couche inférieure de parias intouchables appelés candâla ? — 77 : l'expression technique est caramabhavika.

  4. 29 : DA p. 1 'et 440 : apparemment la question du logement ne se posait pas alors dans l'Inde. Le mot que nous traduisons par « esprit », à savoir gandharva, est longuement discuté dans E. WINDISCH, Buddha's Geburt, p. iz s.

  5. 1 : c'est le ch. iv du LV intitulé Dharma-âloka-mukha°, littt « des introductions à la vision de la Loi », où dioka a un sens philosophique voisin de celui que conservera le mot darçana. — Cf. AgbG, fig. 146 et B. Budur, fig. 5. — 22 : LV p. 38-9 (cf. B. Budur, fig. 6). — 48 : pour les Indiens la colombe est au contraire le symbole de la lubricité (cf. supra p. 161).

  6. 12 : on trouvera une étude détaillée sur le Shad-danta jdtaka (pâli Chaddanta° n° 514) dans Mélanges Sylvain Lévi (Paris, 1911) ou BBA p. 185 s.

  7. 15 s. : Barhut pl. z8, z (cf. AgbG fig. 149 et 16o a (Gandhâra) ; 148 et Amarâvatî B pl. z8,1). Ce même mot okramti (skt avakrânti) se retrouve dans le titre du ch. vi du LV intitulé Garbha-avakrânti « la descente de l'embryon » (dans la matrice). H. LüDERS (Bharhut und die buddhistische Literatur, Berlin, 1941, p. 45) a fait remarquer que la pierre porte plutôt ûkramti, ce qui peut être un lapsus du lapicide, mais s'expliquerait à la rigueur par uvakrânti « insinuation ». — A en croire les textes cités pa: lui (ibid. p. 50-1), d'après lesquels toute personne honorable doit se coucher sur le côté droit, ce serait de propos délibéré (et non par maladresse, comme il est dit AgbG I p. 293) que les sculpteurs indiens auraient représenté la reine Mâyâ dans cette position.

39. 17 s. : Majjhima-nikdya, III p. 123 ; LV p. 72 1. zo ; MVU 11, p. 5 s. L'opportune séparation de corps entre Mâyâ et Çuddhodana était restée traditionnellement soulignée à Kapilavastu par le fait qu'on montrait aux pèlerins leurs appartements distincts (HIUAN-TSANG j p. 310 ; B I I p. 14-5 ; W II p. z). — 34 : en skt garbha-sthiti. — 42 : LV p. 6o et Dial. II p. Io.

40, 22 : B. Budur fig 12. A Amarâvatî B. pl. Il, I et AgbG fig. 147 c'est toujours un petit éléphant que lors du pracala ou « mise en branle » abrite le tabernacle. — 35 : « dispositif » est la meilleure traduction que nous trouvions à vyûha. — 43 : LV p. 64 ; nous croyons que telle est la scène représentée à B. Budur fig. 14.

41,9 :LVp.6o1. 18,63 et cf. 83 1. 15.-38 :LVp.881. I-S.—Onre-