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La Vie du Bouddha : vol.1 |
368 NOTES
nirvâna (supra p. 314). — 27 : skt santâna ou encore hetu-kriyei paramparâ, « succession des causes et effets » (LV, p. 393 1. 8).
4 : c'est l'attachement à l'existence qui y fait revenir ( BT p. 161).
7 : MVA 16, 38 ; MVU III p. 337 ; ANS p. 255-6. —19 : MVA 121. — 26 : on obtient ainsi le tableau suivant :
I
La douleur Duhkham
doit être approfondie parijneyam
a été approfondie parijnâtam
II
son origine
sarnudayah
doit être écartée
prahâtavyah a été écartée
prahînah
III
sa suppression
nirodhah
doit être perçue
sâkshât-kartav-
yah
a été perçue sâkshât-kritah
Iv
la voie de celle-ci pratipad doit être réalisée
bhâvayitavyâ a été réalisée
bhâvitâ
3 : cf. supra p. 52 et 78 : le sens de « disque » est ici écarté pour celui de « roue ». —10 : on ne manquait pas d'autres métaphores ; les habitants des trois mille grands chiliocosmes sont censés inviter le Buddha à faire pleuvoir la pluie, à lever l'étendard, à souffler dans la conque et à battre le tambour de sa Loi (LV p. 413 1. 17). — 22 : LV p. 415: il va de soi que cette roue est celle qu'ont déjà fait tourner tous les Bouddhas ses prédécesseurs. — 37 : AgbG fig. 208-9, 218, 220, 22I etc. — 40 : les cinq ont été subitement transformés en moines par une simple parole du Maître (cf. supra p. 212).
20 : v. L. A. WADDELL Lamaism p. 45, 172, 573 pour des images de prayer-wheels. Ces pieux hochets sont aussi en usage au Japon.
CHAPITRE VIII.
12 : Kritam karanîyam (LV p. 4181. 19). —18 : pâli majjhattatâ.
3 : v. à la Liste des titres abrégés Manual, Vie, Leben et Life. — 23 : il y a toutefois quelques flottements dans la tradition ; v. note à p. 230, 43. — 29 : c'est la même raison qui explique pourquoi ces textes de Vinaya s'arrêtent si vite. — 45 : d'autres disent « depuis 6o ans ». Cf. BC tibétain xvl, 15 ; MVU, I p. 2 ; III p. 92, etc. ; ANS p. 289 etc. Toutefois le MVA ne dit rien de pareil et la NK ne fait intervenir le miracle (p. 88) que pour les messagers envoyés par Çuddhodana à son fils. — Le terme que nous traduisons par « vie religieuse » est brahmacarya.
11 : cette remarque irrévérencieuse n'est pas de notre cru : elle se trouve déjà formulée dans le Milindapanha (éd. TRENCKNER p. 74 ; trad. L. FINOT, p. 126). — 18 : sur la pravrajyâ ou pabbajâ et l'upasampadâ v. MVA I, 12 , 3-4 et 22-31. Le « directeur de conscience » est l'upâdhyâya ou upajjhâya. — 27 : cf. supra p. 234-5. — 35 : cf. supra p. 224. 46 : sur Ajnâta-Kaundinya (ou Annâta-Kondanna) cf. AgbG. I p. 438, et Life p. 107. — 48 : c'est ainsi que les sources anciennes ne s'inquiètent pas de convertir la serviable Sujâtâ, oubli tardivement réparé par-le Dulva (Life p. 4o).
2 : on l'appelle Naradatta, Nârada ou Nâlaka : cf. BC I 8I ; MVU III p. 383 s. ; ANS p. 279 s. et cf. DA p. 58o pour sa visite au Vokkâna (Wa.kân). — 24 : sur cette histoire très embrouillée v. MVU III p. 382 ; ANS p. 276 ; Life p. 45-7 et cf. Barhut pl. xIV et AgbG fig. 251 et 317. La légende est bâtie sur la déformation du nom d'Airâvata en Elâ-pattra (Feuille de cardamome). Cf. J. Ph. VOGEL Indian Serpent Lore (Londres, 1926) p. 1o, 5o et 207.
2 : par « banquier » nous traduisons çreshthin, pâli setthi, hind. Seth. — 6 : il s'agit d'un nyagrodha ou ficus indica, dit « des banians » (ou marchands) parce que les marchés se tiennent volontiers à l'ombre sous les multiples arches de ses racines aériennes qui lui ont valu son nom d'arbre « qui pousse vers le bas ». —10 : ANS p. 258-264 : faut-il rappeler le récit analogue d'E. RENAN dans ses Souvenirs d'enfance et de jeunesse où
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