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0377 La Vie du Bouddha : vol.1
La Vie du Bouddha : vol.1 / Page 377 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000286
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NOTES   375

  1. 5 : AgbG fig. 208 ou BBA pl. iv. —10 : La st. brahmanique citée Cambridge Hist. cf India I p. 531 doit être corrigée pour porter le nombre des places saintes à ce chiffre. —13 : des reproches rétrospectifs au Buddha pour avoir choisi de mourir à Kuçinagara sont mis dans la bouche d'Ananda supra p. 31o. — 25 : v. fig. 3 et cf. AgbG fig. 498 et 500. — 28 :Mathurâ est la Muttra des cartes anglaises sur la rive droite de la Yamunâ (Jumna) à peu près à mi-chemin entre Agra et Delhi.-- Les ruines de Saketâ-Ayodhyâ sont situées en . Aoudh à quelques kilomètres de Faizâbâd. Celles de Kauçâmbî ont été identifiées par Al. CUNNINGHAM avec Kosâm sur la rive gauche de la Yamunâ, à une cinquantaine de kilomètres én amont de la jonction de cette rivière avec la Gangâ à Prayâg (Allahâbâd). — 33 : l'Anjana-vana à Sakêta et l'ârâma du ministre Ghoshila (ou Ghosita) à Kauçâmbî. — 37 : HIUAN-TSANG y notera une grande majorité d'hétérodoxes. — 38 : Le DA xxxvl explique le fait par l'animosité de la fille de l'ascète Makandika, que le Buddha avait refusée et qui était devenue l'épouse favorite d'Udayana ; le DhPC II I incorpore tardivement le cycle des aventures extraordinaires d'Udena à la légende bouddhique. V. aussi n. à p. 275, 41.

  2. 13 : c'est ainsi que Maudgalyâyana serait allé lui demander au ciel la date de sa descente, ce qui a pour but d'expliquer l'affluence qu'aurait attirée celle-ci au jour fixé. — 25 : cf. Barhut pl, 17 et Ajantâ pl. 54 ; et supra p. 227. — 36 : Le Kapitha de HIUAN-TSANG semble n'être qu'un autre nom de Sânkâçya : c'est seulement FA-T'IEN qui transporte le miracle à Kanyakubja (Kanauj). Cf. CUNNINGHAM, Anc. Geogr. of India p. 369 et ASI I et XI ; toutefois le chapiteau de colonne d'Açoka qui a été retrouvé porte un éléphant et non, comme le dit Hivan-tsang, un lion. — 43 : mésapotamie = doâb.

  3. 5 : il ne faudrait pas beaucoup nous pousser pour nous faire admettre une sorte d'affinité élective entre l'alimentation à base de riz et la non-violence ou ahimsâ gangétique. — 16 : DA p. 150 1. 24-5 ; pour le père v. supra p. 233. — 20 : on trouva plus tard qu'il avait trop attendu ; cf. supra p. 192. — 41 : cette tradition tardive hésite entre Prasenajit de Çrâvastî d'après FA-HIEN et Udayana de Kauçâmbî d'après HIUANTSANG : cf. BEAL I p. 44 et 235.

  4. 11 : sur le Deva-avatâra v. DA p. 150 et 401 ; , âtaka n° 463 ; Manual p. 311 S. ; Life p. 81 et cf. FA-HIAN (B p. 39) et HIUAN-TSANG J I p. 238 ; B I p. 203 ; W I p. 333. 13 : Barhut pl. 17 ; Sânchî pl. 34 c Ajantâ pl. 54 ; AgbG fig. 265 ; Icon. bouddh. de l'Inde fig. 29-30. et p. 157 et 205 etc. — 26 : c'est le rêh qui rend les terres stériles (kallar) ; cf. JRAS 1863 p. 326. — 29 : entendez la récolte semée au printemps (rabi') et celle semée à l'automne (kharif ), d'où leurs noms empruntés à l'arabe. — 40 : v. la fig. 4.

  5. 11 : HIUAN-TSANG J I p. 258 ; B I p. 218. — 42 : Daça-bala, une des désignations courantes du Buddha (cf. Eug. BURNOUF Lotus p. 781).

  6. 53 : sur la dévote et généreuse Visâkhâ il suffit de renvoyer à OL- DENBERG p. 186 S.

  7. 22 : , âtaka n° 472, cf. DhPC xIII 9 ; elle tombe dans l'enfer Avîci, le plus bas et terrible des huit enfers chauds (cf. BPh p. 62). 32: son cas et le suivant sont de ceux qui entraînent rétribution immédiate (cf. ibid. p. 180).

-280, 16 : Yâtaka n° 285 ; cf. DhPC xxll I . Selon les informateurs de HIUAN-TSANG chez qui les deux histoires se suivent de près avec celles de

Devadatta et de Kokâlika (J I p. 300-3 ; B II p. 7-1o; W I p. 389-93),

Sundarî était une courtisane embauchée dans cette mauvaise intention ; naturellement les cicérones montraient les soupiraux ainsi ouverts sur les

enfers. — 41 : l'Avadâna-kalpalatâ ne recule plus devant cette conception ; le MVU I p. 35-45 est moins explicite ; mais le Milinda panha féd. TRENCKNER p. 134 s.) rejette énergiquement l'idée que les mésaventures survenues au Bienheureux aient été des expiations et soutient avec la vieille