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0067 Histoire Générale de la Chine : vol.4
中国史概説 : vol.4
Histoire Générale de la Chine : vol.4 / 67 ページ(白黒高解像度画像)

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doi: 10.20676/00000288
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Guet-apens,
i8 sept. 186o.

HIEN FOUNG (i851-i86z)   65

Times, avec une escorte commandée par le lieutenant ANDERSON, de six dragons et de vingt cavaliers de Fane.

Accueillis à Tchang Kia Wan par le général chinois qui avait commandé à Sin Ho et avait été disgracié après cette affaire, les Anglais arrivèrent à T'oung Tcheou où, dans une conférence, les Commissaires chinois furent presque hostiles. Heureusement pour le secrétaire français, Léon DE BASTARD, porteur d'une lettre du baron Gros, et l'interprète MÉRITENS, qu'ils avaient regagné le camp français. Ceux qui étaient restés en arrière furent moins heureux.

Le 18 septembre au matin, le colonel Walker, Thompson, Parkes et Loch, avec six dragons et trois sikhs, partirent pour retourner au camp des Alliés; De Normann, Bowlby, Anderson et dix-huit sikhs restèrent à T'oung Tcheou. Parkes constata, comme l'avait fait Bastard, des mouvements insolites des troupes tartares; surpris et inquiet, il se décida à retourner à T'oung Tcheou avec le dragon PHIPPS et un sikh portant un pavillon de parlementaire pour savoir du prince de Yi, la cause de ces manoeuvres. Loch et deux sikhs traversent la cavalerie chinoise sans être arrêtés, arrivent au camp anglais, informent le ' général Grant de ce qui se passe; Loch, avec deux cavaliers de Probyn, et rejoint par le capitaine BRABAZON, franchit à nouveau les lignes- chinoises, arrive à Tchang Kia Wan et à T'oung Tcheou et retrouve Parkes et les autres. Ils repartent tous

ensemble pour Tchang Kia Wan, mais à peine ont-ils dépassé cette ville que le canon leur apprend que la bataille a commencé, et qu'une nouvelle trahison les met à la merci des Chinois : ils aperçoivent Seng-ko-lin-ts'in galopant avec son État-major ; Parkes interpelle le prince mongol qui lui répond par des injures : les Anglais sont jetés à bas de leurs chevaux, désarmés, maltraités, traînés à genoux devant le général; ils sont prisonniers.

D'autre part, des officiers français envoyés le matin à T'oung Tcheou par le général Montauban, étaient restés dans les lignes chinoises et avaient suivi le sort des Anglais; c'étaient : le sous-intendant militaire DUBUT, le colonel d'artillerie FOULLON-GRANDCHAMPS, l'officier d'adrninis-

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