National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Notes d'epigraphie mongole-chinoise : vol.1 | |
Note of Mongol-Chinese Epigraphy : vol.1 |
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vestiture, celle du royaume de Tsin qui ajoutait
son domaine une partie du Kan-sou; il établit sa résidence royale à K'ai-tch'eng gel hit (moderne Kou-
yuan J, ) dans les monts Liou-p'an chan
tandis que King-tchao fou restait le centre du commandement qu'il exerçait sur les garnisaires mongols. En 12 7 7, ce prince fut appelé à prendre part à des opérations militaires dans le nord ; il mourut en i 28o (17° année Tchi-Yuan ), laissant sa principauté de
Ngan-si â son fils aîné Ananda jrpJ Nt , et celle de
Tsin à son second fils Ngan-tan Bou-hoa. Koubilaï. aussitôt après la mort de son fils Mangala , enleva à la principauté de Ngan-si l'autonomie administrative dont elle avait joui jusque-là 1.
Notre inscription sur pierre est postérieure de trois ans à cette époque, elle se rapporte donc bien au temps d'Ananda, roi de Ngari-si , qui y est désigné sous le titre de Hoang t'aï tze (héritier présomptif). Or, pas plus que son père, Ananda n'avait droit à cette qualification; Mangala, troisième fils de Kou-
bilaï, n'était que Hoang-tze , fils d'empereur;
l'Histoire ne le désigne pas autrement ; les droits d'Ananda au titre d'héritier présomptif étaient encore moindres, les Annales le qualifient simplement de
Hoang-soun, , petit-fils d'empereur. En 1283,
Koubilaï n'avait d'autre hériti er présomptif que Tchen-Kin, son deuxième fils, qu'il avait solennellement
' Yuan-chi Ici-picn, k. II, fol. 24 et 39; k. III, fol. 4; k. IV, fol. 2; k. XXX, fol. i6; Yuan-chi, k. VII, fol. 18.
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