National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Notes d'epigraphie mongole-chinoise : vol.1 | |
Note of Mongol-Chinese Epigraphy : vol.1 |
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— 2-r( 23 )•e-4--_
supposer une lacune après ulaga , dernier mot de la première ligne. Nous prétendons aussi que l'inscription n'est pas en ordre; on le voit à la fin de la seconde ligne et au commencement de la troisième, qui, réunies, donneraient eharban, ce qui n'est rien; on le constate surtout à la troisième ligne tout entière, qui, telle qu'elle se trouve dans le texte, n'offrirait aucun sens.
Voici comment j'ai procédé pour avoir un texte lisible : après avoir déchiffré la troisième ligne, j'ai d'abord disposé les mots d'après l'ordre suivi en mongol correct; je les ai ensuite écrits sur de petites fiches que je tâchai de ranger en plusieurs lignes. Je suis arrivé ainsi à constater que la troisième ligne a dû en former trois dans l'original donné à l'ouvrier, et que celui-ci a commencé l'inscription par la fin , de sorte que de
[i] (dsarlik) ` ma- nu kon? el na- mu- run [ 2 ] dum- da- tu sa- ra- yin [3] he•- ban ta- bu- n bai
il a fait :
[3] harban tabun bui [ 2 ] dunidatu Sara yin
[ 1 ] manu kon? d.il namurun.
Cela explique tout : comme il y avait encore de la place au-dessous de namurun, l'ouvrier y a mis a qui, dans l'original, se trouvait au commencement
Voir dans les Remarques.
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