National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Notes d'epigraphie mongole-chinoise : vol.1 | |
Note of Mongol-Chinese Epigraphy : vol.1 |
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12 7 7, ii accordait des honneurs posthumes à Men-
cius 1. .
Cette politique de Koubilaï ne pouvait être également bien appréciée et servie par tous les fonction-. mires de son gouvernement : ceux-ci étaient pour la plupart étrangers à la Chine , et les croyances qu'ils professaient devaient peu les porter au respect- des temples qui n'étaient pas de leur culte. Les uns, comme les Mongols et certains Tartares , pratiquaient le chamanisme et le bouddhisme tibétain ; d'autres étaient musulmans, comme les Arabes, Persans et Turks qui s'étaient ralliés à la cause mongole après la destruction de leurs États par Tchingkis Khan ; d'autres enfin étaient chrétiens; le nombre de ces derniers était considérable; c'étaient des Kéraïtes , des Oui-gours , des Alains-Aas , des Géorgiens-lbériens, des Circassiens , des Russes, voire même des Abyssins, 2.
Les Mongols occupaient la plus grande place dans l'armée, ou tout au moins dans la cavalerie; parmi eux se recrutaient aussi les daroughas, juges et chefs de département et d'arrondissement dans les provinces 3. Quant à l'élément musulman , qui n'était ni le moins avide ni le moins turbulent, il remplissait en majorité le cadre du personnel sous-préfectoral' et tendait à accaparer partout le service des finances.
I Y'uan chi-lei-pien, k. V, fol. t,.
2 Dans le chapitre qui suivra, relatif à la stèle de 1314 , nous parlerons plus longuement de ces prêtres chrétiens.
3 Yuan-chi, k. VI, fol. 2 ; Yuan-chi-lei-pien, k. II, foi. k. III,
fol. 5.
4 Iran-chi, k. VI, fol. 2.
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