National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Un traité manichéen retrouvé en Chine : vol.1 |
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| —.--.4-3.( 78 ).c~-.— [57!x] ainsi en effet que, dans le monde , un malade étant tourmenté par son mal désire toujours rester seul et ne souhaite pas avoir auprès de lui ses parents et ses amis. Tels aussi sont ceux qui n'aiment pas la société [des fidèles]. Le second (_arbre] est celui de la sagesse. Si. des tien-na- mou dêndvar) observant les défenses (i) ont en eux la nature de sagesse , il vous faut savoir que de tels maîtres en montrent | ||||
• | (i) Il a déjà été question une fois (cf. p. 542) de l'observation des défenses (4z4 3 tch'e-kiai , qui est le terme usuel dis bouddhisme chinois). Le manichéisme avait son décalogue , tout comme le bouddhisme d'ailleurs. Ces dix n préceptes» ou cc défenses» sont énumérés dans le Fihrist (FLÜGEL, Mani, p. 95, 299-301). Il en est question à plusieurs reprises dans le Khuastuan ft, qui les désigne sous le nom de caxsapat, emprunté du sanscrit çiksāpada qui désigne les dix préceptes bouddhiques (cf. MÜLLER, Uigurica, I, 46). Le Khuastuan ft (p. 292) divise les dix préceptes en cc trois pour la bouche, trois pour le coeur [= la pensée], trois pour la main, et un pour tout le corpsn . De façon analogue, les bouddhistes répartissent les dix sortes d'actions bonnes et mauvaises, répoNdant aux dix préceptes, en trois pour le corps, quatre pour la parole (ou la bouche) et trois pour la pensée (cf. Bukkō jiden, s. v. , B, et aussi CHAVANNES , Cinq cents contes , 1, 37). La division mani- du manichéisme. | ~ | |||
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