国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Histoire de la Ville de Khotan : vol.1 | |
コータンの町の歴史 : vol.1 |
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qui imitait les hyacinthes et les saphirs , les oppose tous les deux au verre blanc (1). Aussi Isidore place*-il la murrha parmi les pierres de diverses couleurs (z). Il est impossible de trouver une pierre â laquelle toute cette description convienne moins qu'au jade , ou au iu, dans lequel on n'a jamais loué ni zones , ni
d reflets de lumière , mais un aspect gras , des
P teintes pâles , un poli doux et onctueux , une
translucidité uniforme : l'opposé, en Un mot, de ce qui faisait le mérite de la murrha.
Mais la raison la plus forte est que cette der. nièce substance n'était pas dure , puisqu'on pouvait la rayer avec les dents. C'est ce que Saxius (3) a conclu avec beaucoup de raison du passage oû. Pline raconte qu'un personnage
(i) Fit et album (vitrum) et murrhinum aut hyacinthos sapphirosque imitatum, et omnibus aliis coloribus. Plin. , 1. XXXVI, c. XXVI, t. II, p. 759.
Isid. , ubi supra. -- Il est vrai qu'il y met aussi l'opale qui est proprement une pierre blanche, puisque ses reflets seuls sont irisés. Mais cela même prouve contre ceux qui voudraient faire de la murrha un quartz agatbe ou résjnite opalin.
De lurrhinis veterum disquisit. , p. 9.
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