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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

- I27

chaque guerrier (voir fig. Io6). L'un de ceux-ci, côté oriental, en portait un, semi-elliptique, orné de bandes longitudinales. Ailleurs, c'est un cercle ayant un bouton central et quatre rayons lui donnant l'aspect d'une corolle.

Atlantes (voir fig. I o6).

L'ensemble du soubassement K, 20 repose sur un massif en pierre de taille à peine élevé au-dessus du sol et débordant de o m. ii.

La cellule au milieu de laquelle s'éléve cet édifice mesurait 4 m. 8o sur 3 m. 30 ; elle s'ouvrait dans l'atrium.

Il est possible qu'il y ait eu, le long des murs, des statues ornementales, mais en cet endroit du site, ainsi que dans la chambre n° 21 qui fait suite, les excavations des paysans, atteignant et même dépassant le sol, ont tout détruit.

Le stupa K, 20 est d'une taille légèrement inférieure à celle de K, 22 ; bien que les pierres de taille des atlantes aient les mêmes dimensions, les éléphants sont un peu plus grands et les joints des pierres plus larges dans l'un que dans l'autre.

CHAMBRE K, 2I.

Mêmes dimensions que précédemment. Le sol était en terre battue.

Cet endroit correspondait peut-être à l'une des portes, car il paraît avoir été le vestibule d'une entrée.

Dans les coins, deux niches étroites, presque à fleur de sol, dépourvues de statuettes, ont été dégagées.

STUPA K, 22.
(II pi. 8, e, f).

Côté : I m. 82. Joli stupa en pierre sculptée, réduit à son soubassement, mais en meilleur état que K, 20 ; il n'en reste que deux bandeaux superposés. Comme K, 20, il repose sur un massif de pierre de taille.

Les atlantes, sculptés également dans la pierre, reposent directement sur une aire de pierre de taille ; ils supportent la deuxième bande débutant par une petite base classique, suivie d'amours portant une guirlande onduleuse de feuillage, puis des petites consoles. Il n'y a aucun ornement ni moulure préparant le stupa qui faisait suite. Ce dernier est réduit à sa base.

Bandeau inférieur :

Série d'atlantes dans des poses diverses toujours accroupis, jambes écartées ou à genoux ; de deux mains ou d'une seule main et de la tête ils portent le deuxième bandeau. Si l'un des bras est libre, il s'arc-boute sur les genoux. Sur deux des faces, certains de ces personnages s'aident d'un bâton à pommeau (voir fig. 1137 pour les détails). Ces atlantes et le pilastre placé entre eux sont toujours taillés par paire sur une même pierre.

Tous les éléphants séparant ces figures sont montés.

Côté Ouest : le cornac du milieu était vêtu d'un manteau rappelant la toge, les autres étaient brisés.

Am,