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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

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I m. 3o, s'arrêtant à la porte d'entrée. Elle bute å l'Ouest contre le mur de B, 3o, et à l'Est se raccorde, en s'élargissant progressivement, avec le seuil où est construit B, 31.

Dans le coin Sud-Ouest est percé un couloir dérobé, en poterne.

Le monastère a sensiblement les mêmes dimensions que l'enceinte précédente. Comme à GarNaô, c'est une suite ininterrompue de cellules de profondeur uniforme puisqu'elles sont entre deux murs parallèles élevés å trois métres de distance, mais de largeur très variable, voisine cependant de 2 m. 20. Les côtés Nord et Ouest sont démolis.

La cour du monastère n'était ni pavée, ni enduite de stuc, niais simplement aplanie. Elle communiquait avec l'extérieur par une porte située dans le coin Nord-Ouest et flanquée extérieurement de deux épaisses tours. Une autre tour, de taille imposante, consolidait le coin Nord de l'enceinte. De la porte, un escalier grossier descendait la pente jusqu'au fond du ravin de Gar-Naô dans le lit duquel est tracé le chemin qui conduit aux ruines de ce nom.

Les cellules du monastère ont servi, depuis l'abandon, d'habitations ou de refuges aux nomades. Ceux-ci s'étaient servis des bas-reliefs en schiste en guise de moulins, aussi en trouve-t-on des

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de large, et profondes de deux mètres, constituant autant de chapelles. On en compte six de chaque côté. A leur voisinage les décombres étaient remplis de débris de statues que l'humidité avait altérés, mais qui suffisaient å prouver l'intérêt de cette bordure avant sa destruction. Il n'y reste maintenant plus rien, pas même les trônes qui cependant résistent mieux que les statues.

Comme partout, ces chapelles s'ouvrent à des niveaux variés. Au-dessous d'elles, tout le long de l'enceinte, court une petite plate-forme en trottoir, de la hauteur d'une marche d'escalier, large de

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FIG. 121. — Façades E. et W. du stipa B, 4.

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