国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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L'art Greco-Bouddhique du Gandhâra : vol.2 | |
ガンダーラのギリシャ仏教美術 : vol.2 |
72 LES CASTES INFÉRIEURES.
vraiment une Yavanî; et puisque le nom et la ch temps conservés dans la littérature et les mceu ne pouvons mieux faire que d'emprunter au gr. que fut Warta 0) sa description de la n gardienne glaive qui, contrairement à la coutume des fern flanc gauche, lui donnait une apparence à la foi mante : telle une tige de santal à laquelle s'e A voir les contours de ses seins, blanchis par une fard, on l'eût prise pour la Ganga céleste, au mo Airavata fait émerger les orbes de son front. Q reflétait dans les pierreries des aigrettes, on aval la Fortune royale en personne portée sur la têt saux. Comme l'automne, elle était vêtue d'u cygnes; comme le fil de la hache de Rama, ell; le cercle des princes; comme les pentes boisées de elle portait une tige de rotin : elle semblait i' divinité tutélaire du royaume... n Le couplet est brillant, et, devant la statue de Lahore, nous retrancher un mot : mais tout de même il ne s' cas que d'une portière — ou, pour nous serv noble usité en Amérique, d'une «janitrice ».
LE COSTUME FÉMININ. - Si l'on met à part cette a ment caractérisée, la plupart des autres fig noient dans la monotonie d'un type commun. D'u rale on pourrait peut-être remarquer que, sur l'influence classique vient à faiblir, la prédomina gène tend à augmenter l'opulence des formes : contraster par exemple, à ce point de vue, les fi Pour le reste, du haut en bas de l'échelle, tout ressemblent et ont, à peu de chose près, même
") Kddambarï, éd. des Bombay Sansk. Sei'. , p. 8.
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