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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
4 | 154 TSA P'I YU KING (N°' 182-188). Plutarque (trad. Amyot, fol. 55o et 551 de l'édition de 1565). La Fontaine, livre VII, f. 17. |
N° 182.
Sammodamâna jâtaka ( Jâtaka, n° 33); — Mahâbhârata, Udyoga- parva, 2455-21163; trad. Fauche, t. VI, p. 75-76). — Benfey, Pantchatantra, I, p. 3011; Dubois, p. 139.
N° 186.
Ce récit figure, sous une forme abrégée, dans le Hien yu king (Trip., XIV, 9, p. 28 r°).
XXXVI, 4, 25h. — XX, 1, 117b-48a.
Iconographie : [cf.] Bliarhut (Cunningham, pl. XXXIV, 2 et p. 1211).
Cf. XXXVI, 27p. 6 9 b.
Kathez sarit sâgara (tr. Tawney, I, 247), oû c'est un moine qui arrache un de ses yeux parce que la femme d'un marchand a loué le charme de son regard.
Les peintres européens ont souvent représenté sainte Lucie tenant ses deux yeux sur un plat ou dans sa main. Mais les textes ne confirment pas cette tradition en ce qui concerne sainte Lucie, martyre de Syracuse; peut-être, comme le remarque le P. Cahier (Caractéristiques des Saints, t. I, p. 1 o 5 ), a-t-on attribué à sainte Lucie un fait qui appartient à la vie d'une autre Lucie, soit de Bologne, soit d'Alexandrie. On raconte que cette autre vierge, se voyant fréquemment suivie par un jeune homme qui affectait de l'accompagner partout as qu'elle quittait sa maison, lui demanda enfin ce qui l'attachait si fort à ses pas. Celui-ci ayant répondu que
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