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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.4 |
D'IBN BATOUTAH. 281
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milles. Chaque habitant, comme nous l'avons dit déjà, y a son jardin, sa maison, et ses champs.
f` NECDOTE.
Un jour que je me trouvais dans la demeure de Zhahîr eddîn alkorlâny, voici qu'arrive un grand navire appartenant à un des jurisconsultes les plus vénérés parmi ces musulmans. On demanda la permission de me présenter ce personnage et l'on annonça : « Notre maître Kiouâm eddîn assebty. » Son nom me surprit; mais quand il fut entré, et que l'on se fut mis à converser après les salutatiâns d'usage, il me vint à l'esprit que je le connaissais. Je me mis à le regarder fixement, et il me dit : « Il me paraît que tu me regardes comme un homme qui me connaît. — De quel pays es-tu? — De Ceuta. — Et moi, je suis de Tanger. » Or il me renouvela le salut, il pleura, et je pleurai à son exemple. Je lui demandai « As-tu été dans l'Inde? — Oui, j'ai été à Dihiy, la capitale. 4 Quand il eut dit cela, je me souvins de
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