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国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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| Histoire Générale de la Chine : vol.3 | |
| 中国史概説 : vol.3 |
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引用情報
ouvrit ses portes aux Impériaux qui, sans tarder, marchèrent sur Lu'Tcheou tandis que Tch'e Tch'oung-ming et son fils se retiraient à Tsun yi-fou avec les débris d e leur armée (1622) 1.
Vers la même époque éclata au Kouei Tcheou une révolte fomentée par NGAN PANG-YEN, appartenant à une famille qui gouvernait héréditairement à la frontière de cette province et du Yun Nan; il était poussé par la veuve du gouverneur NGAN YAO, parente de Tch'e Tch'oung-ming. Ngan Pang-yen forma deux corps d'armée destinés à opérer l'un au Kouei Tcheou, l'autre au Yun Nan, commandés le premier par lui-même, le second par Lo YING-KOUE. Après
. quelques succès, les rebelles échouèrent dans le siège de Kouei Yang défendu-par le vice-roi Li Tcxou ; la place fut secourue par WANG SAN-CHIEN, qui surprit lès rebelles; ceux-çi furent taillés en pièces et le frère de Ngan Pang-yen, NGAN PANG-HIUN, fut tué. Ngan Pang-yen, effrayé, s'empressa d'opérer une retraite dans son pays, trop heureux de n'être pas poursuivi 2.
En 1622, SU H.oUNG-JoU, qui appartenait à la société secrète Pe Lien kiao, fomenta des troubles au Chan Toung; il assiégea K'iu Feou, défendu par un descendant de Confucius, KOUNG WEN-LI, et secouru par YANG KOUEI-TCHENG qui, malheureusement, se trouva trop faible devant les rebelles en force et succomba sous le nombre. Le vice-roi TCHAO YEN alla investir les chefs rebelles à Teng Hien et leur accorda la vie s'ils livraient Su Houng-jou;- ils n'hésitèrent pas et abandonnèrent leur chef aux mains des Impériaux qui le mirent à mort,. terminant ainsi la rébellion.
L'année suivante (1623), les rebelles du Se Tch'ounn, du Kouei Tcheou et du Yun Nan recommencèrent la lutte sous la conduite de NGAN HIAO-LEANG, parti de Chouei Si avec 25 à 3o,000 hommes; ils furent battus par YANG MINGKIAI. Wang San-chen pénétra au Chouei Si où il défit les rebelles, mais attiré dans un guet-apens, il fut tué; les rebelles affaiblis étaient toutefois hors d'état de continuer la lutte.
I. 'MAILLA; X, p. 425• 2. MAILLA, X, p. 428.
Au Kou Tcheou.
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Au Chan Toung.
Nouvelles Rébellions.
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