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Les pays d'Occident d'après le Heou Han Chou : vol.1 | |
後漢時代の西域諸国 : vol.1 |
159 LES PAYS D'OCCIDENT D'APRÈS LE HEOU HAN CHOU. 13
postérieure de Kitc-che (Dsimsa); le surveillant et la ville se trou-
vaient à 500 li de distance l'un de l'autre 1)..
La sixième année (94 p.C.), Pan Tch`ao attaqua de nouveau et
détruisit Yen-Pi (Karachar) 2) ; à la suite de cela, plus de cinquante royaumes livrèrent tous des otages et se soumirent à l'empire.
Quant aux royaumes tels que T`iao-tclie Ni, Ngan-si
(Parthie) et jusqu'à ceux qui atteignent aux rivages de la mer, de
plus de quarante mille li de distance tous apportèrent leurs tributs et leurs offrandes en se servant de plusieurs interprètes successifs.
La neuvième année (97 p.C.), Pan Tch`ao chargea d'une mission son lieutenant Kan Ying 3) -1 qui alla aussi loin que possible jusque sur les bords de la mer occidentale puis revint. Les générations antérieures n'étaient point parvenues dans ces régions sur lesquelles le Chan king 4) ne donne encore aucun détail; mais alors on connut complètement la géographie de tous ces pays et on transporta (jusqu'en Chiue) leurs objets précieux ou merveilleux.
Puis les royaumes lointains tels que Mong-k`i * et Teou-le
a5) vinrent tous faire leur soumission et envoyèrent des ambassadeurs apporter leurs tributs et leurs offrandes.
C'est-a-dire que la ville de Tourfan où résidait le ltiao-wei et la localité des environs de Dsimsa où résidait le surveillant étaient h, 500 li de distance l'une de l'autre. D'après un itinéraire du rang chou, la distance entre Kiao-ho (Yar khoto, près de Tourfan) et Pei-ring (près de Dsimsa) était de 80 + 130 + 160 = 370 li (cf. mes Documents sur les Tou-kiue occidentaux, p. 11).
Cf. roung pan, 1906, p. 234-236.
D'après le commentaire de 676, le Siu Han chou (de Sseu-ma Piao, 240-305 p.C.;
cf. roung pao, 1906, p. 214, lignes 1-7) donne la leçon `t 4 «Kan T` OU» . -- Sur la mission de Kan Ting, voyez plus loin, p. 177-8.
Le Chan king W 41 n'est autre que le Chan hai king 'n „ ; on sait
que déjà Sseu-ma Ts'ien mentionne cet ouvrage (Mém. hist., chap. CXXIII, à la fin). Les prolégomènes des éditeurs chinois du Chan hai king ont été traduits par Eitel (China Review, vol. X V II, p. 330-348).
Je n'ai pas réussi à trouver ailleurs mention de ces royaumes.
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