National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
| |||||||||
|
L'Œuvre de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan (1922-1932) : vol.1 |
Additions et Corrections
Page 12, ligne 23 —L'art chrétien du Moyen-Âge et l'art de Hadda fournissent
cependant deux exemples de monstres qui peuvent, l'un et l'autre, se réclamer d'un prototype classique (Gorgone ?)
Voir 16, pl. 88, a.
et Lester Burbank Bridaham, Gargoyles, Chimeres, and the Grotesque in French gothic Sculpture, New-York, 1930, p, 122 (Cathédrale d'Auxerre, tête du XIIIe siècle).
Le démon qui s'arrache la tête (Hadda, voir 16, pl. 100, c) se retrouve, semble-t-il, dans la statuaire romane. Voir Jurgis Baltrusaitis, La stylistique ornamentale dans la sculpture romane, Paris, 1931, p. 40, fig. 89 (Saint-Rémy).
Page 14, ligne 1 (fig. 26)—Ce motif apparaît dans l'art de la Perse achéménide (Voir architrave médiane, face avant, de la porte orientale du stzcpa de Sänchi, lions ailés, influence marquée de l'art de la Perse achéménide.
Page 37, ligne 29 —Hacha fournit un exemple d'un diadème à trois croissants. Nous
pouvons également signaler un exemple gandharien (Exposition Yamanaka, Tökiö, novembre 1932) ; mais, pas plus que le Gandhara, Hadda ne nous fournit d'exemple de diadèmes montrant croissants et disques associés.
Voir 16, pl. 54, c.
Page 52, ligne 2 —Nombreuses sont les divinités bouddhiques japonaises qui por-
tent une coiffure semblable.
Page 5, ligne 13 —Lire mainmise au lieu de main mise.
Page 55, ligne 23 —Lire fréquemment au lieu de fréquenment.
Page 63, note 2, ligne 5—Lire centimètres au lieu de centimetres.
|
Copyright (C) 2003-2019 National Institute of Informatics and The Toyo Bunko. All Rights Reserved.