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Dix Inscriptions Chinoises de l'Asie Centrale : vol.1 |
18 ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS. ET BELLES-LETTRES. [210] D'après le Kin die tsoei pieu, ce monument se trouve à 3 li au nord-ouest de la ville de Barkoul E . g, devant un temple de Koan-ti * , le dieu de la
)&. t - /fi guerre. Il fut découvert en
`~ /~ ~
1757 par le chef d'une expé-
I '1 dation militairee-
ue lem
q P
LL h) , ï . -fc- reur rien-long envoyait dans
la vallée d'Ili le , et c'est à 1— 4 4ç partir de ce moment qu'il fut connu des épigraphistes chi-
Ai, 4 nois. Le lac Barkoul est à une
*, t ' quarantaine de li au nord-ouest
de la ville de Barkoul; comme
174 - ~~ il résulte, de la teneur même
~~, de la stèle, que celle-ci fut éri-
iL J& mi gée dans un temple au bord du
--
ek- lac, il est vraisemblable que l'inscription était, à l'origine,
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-
,free._ ter, r plus voisine du lac qu'elle ne
l'est aujourd'hui.
Le roi Hou yen, dont il est question, était un roi Hiong-nou, chef du clan .Hou yen. Se-ma Ts'ien (Mém. hist., chap. cx, p. 4 v11, parlant des Hiong-nou, dit : « Leurs principaux fonctionnaires ont tous des charges héréditaires. Le clan Hou yen i &, le clan Lan X lk et après eux le clan Siu-pou XI. . , telles sont les trois familles de souche la plus noble. » Il n'y a pas lieu de faire grand état de l'assertion du commentateur Yen Che-kou (579-645), qui retrouve chez les Sien pi P .. les
' Ce texte se lit aussi dans le Ts'ien Han chou, chap. xciv, a, p. 3 v°. C'est là que se trouve le commentaire de Yen Che kou auquel nous faisons allusion quelques lignes plus bas.
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