le cours du Nil dont les eaux se seraient déversées dans la mer Rouge, Suez se trouvant ainsi ruinée.
Cette édition des lettres d'Albuquerque, qui complètera si heureusement les-Commentaires de l'illustre capitaine, est malheureusement dépourvue, non seulement d'une notice biographique, mais aussi de notes et d'index ; les introductions sont insuffisantes et parfois de mauvais goût ; en tête du vol. II, p. VII, un parallèle avec la France, Napoléon III, Montauban et la Chine était p6ur le moins. imprévu, et je ne vois guère le rapprochement d'Albuquerque avec Alexandre et César : çc A f f onso d'Albuquerque, cmjo nome se pole alternar a rada passo corn o de Alexandre et de Cezar. »