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Les Fouilles de Haḍḍa I : vol.1 |
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séparation de la bande horizontale qui fait suite. A ce niveau, les lobes voisins de chaque feuille se confondent, formant en avant un petit pointement, une proéminence triédrique.
Au-dessus de la feuille centrale et occupant le reste de la hauteur du chapiteau, se trouve, en
a
1
b
c
d
h
e
f g
FIG. 5. - a, chapiteau à longues acanthes et volutes bifides ; b, nervures médianes d'une acanthe de B, 70 ; c, chapiteau en terre de TK, ia, avec reliefs indiquant une forme inspirée de a ; d, chapiteau dissymétrique de P, i ; e, volutes se terminant en feuilles, provenant de TK, 68 ; f, g, h, écussons de chapiteaux, montrant le passage insensible d'un ornement d'une exécution soignée å la stylisation courante ; i, chapiteau courant dont les lobes de l'écusson retombent en avant.
relief, un médaillon ou écusson carré réalisant une forme encore plus stylisée de l'acanthe médiane, avec plus ou moins de légèreté dans sa forme.
La feuille d'acanthe montre une nervure centrale large et en relief, comme une caréne arrondie. Les nervures principales de chaque lobe sont indiquées par un sillon arqué, rejoignant le pied de la feuille et parfois s'incurvant vers la base de la carène. Celles des dents ne sont indiquées que par un petit sillon incurvé en virgule. Très rarement elles sont représentées sur toute leur longueur Quant aux sinus, ils sont, å leurs commissures, bien arrondis et un peu élargis. Lorsque l'exécution de la feuille est sommaire, ils ne sont indiqués que par une entaille.
La deuxième partie du chapiteau, faisant suite aux feuilles d'acanthes, est réservée aux volutes. Celles-ci prennent naissance, symétriquement, au pied du médaillon et sont mises en
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