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0134 Les Fouilles de Haḍḍa I : vol.1
Les Fouilles de Haḍḍa I : vol.1 / Page 134 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000277
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126 —

  1. Bouddha en méditation, grandeur naturelle.

  2. Bouddha assis à l'européenne sur un socle cubique; la taille est la même que précédemment, en b, mais les genoux sont un peu plus écartés. L'épaule droite est également nue. Au côté droit se dressait un Bouddha en marche qui, à en juger par la longueur des pieds, devait mesurer I m. 5o de haut.

  3. Bouddha en marche de la même taille que le Bouddha situé en C.

  4. Petit Bouddha en marche dont la main droite passait par le sinus du manteau. La main gauche, voilée, retombe sur la hanche. A son côté se trouve un petit Bouddha accroupi à l'orientale, haut de o m. 50, et reposant sur un trône de o m. 20.

STUPA K, 20.

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Côté : I m. 8o (v. fig. 1o6). Ce stupa était en pierre sculptée. Il est réduit à la moitié inférieure du soubassement, c'est-à-dire à deux bandeaux, l'un orné d'atlantes et d'éléphants, l'autre d'une guirlande portée par des amours, entièrement brisée, mais dont on trouve les traces dans les décombres voisins. L'édicule avait été détruit par les paysans en quête de sebakh ou terre nitrée, et la face Nord était enlevée jusqu'au sol.

A chaque coin, et disposée en diagonale, se trouvait une console. Elle devait être très étroite, car les genoux des atlantes, aux encoignures, sont très rapprochés.

Les atlantes sont au nombre de huit sur chaque face, séparés les uns des autres, alternativement, par un pilastre taillé dans la même pierre de taille qu'eux et par un éléphant sculpté dans une pierre indépendante.

Ces éléphants étaient montés par leur cornac armé d'un croc, ou par un guerrier, l'un et l'autre d'une taille exagérée, comparée à celle de leurs montures.

Côté Est. Chaque éléphant relève la trompe et la ramène sur le front.

Côté Sud. L'éléphant baisse sa trompe et la laisse tomber en spirale sur le sol.

Côté Ouest. Les éléphants sont brisés.

Au Nord, le soubassement est démoli, sauf en deux endroits ; les guerriers sont également

brisés. L'un de ceux-ci est trapu, la tête recouverte à la manière arabe d'un haïk retombant en arrière. Au bras gauche il porte un bouclier circulaire, légèrement bombé. Le bouclier variait avec

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FIG. 106. — Deux façades E. et S. du slupa K, 20 (soubassement).

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