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0049 Southern Tibet : vol.8
南チベット : vol.8
Southern Tibet : vol.8 / 49 ページ(カラー画像)

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doi: 10.20676/00000263
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HIS ITINERARY IN GENERAL.

25

Fa-hien includes the whole mountainous region down to the Himalaya, in the Ts ung-ling, On his little sketch-map LEGGE has drawn the pilgrims' route from Kholan directly to Skardo, disregarding those places which were not with certainty identified.

LEGGE locates the Tsung-ling with the following words:

The Tsung, or Onion range, called also the Belurtagh mountains, including the Kara-korum, and forming together the connecting links between the more northern T`ien-shan and the Kwen-lun mountains on the north of Thibet.i

RITTER states that in Fa-hien's days roads existed over the Tsung-ling mountains, the latter including ramifications from the Hindu-kush and Kashmir Himalaya. He believes that Fa-hien travelled across the Pamirs and then through the mountains in the direction of Yellalabad.2

KLAPROTH identifies Tzu-ho (Tseu-hú) with Kök-yar and thinks that Fa-hien, when travelling from that place to Kashmir ought to have traversed the upper branch of the Indus, which comes from Tibet.3 According to him the road followed by Fa-hien and his comrades was the same as the one which is still in use from Yarkand over the Kara-korum Pass to Western Tibet. He gives the following interesting analysis of the road:

Dans les hautes montagnes de l'Asie centrale, les chemins qui conduisent à travers les glaciers, ou qui les évitent par des détours, restent presque toujours les mêmes: il est donc vraisemblable .que celui qu'a suivi notre voyageur, ne diffère pas de celui qui, encore aujourd'hui, conduit de Khotan et de Yerkiyang au Tibet occidental. Ce chemin remonte la partie supérieure du Tiz âb jusqu'à sa source, passe par le défilé de Karà korum, au sud duquel il suit le cours du Khamdan, affluent du Chayouk, et puis le cours de celui-ci jusqu'à Leh ou Ladak. De cette ville on se rend dans le Baltistan, en restant au nord de la branche tibétaine de l'Indus; . Få hian, en partant de Tseu ho (ou Kouke yar), a donc suivi, dans une direction méridionale, le Karà sou jusqu'à ses sources, qui sont dans les monts Tsoung ling. De là il a tourné d'abord au sud-est pour atteindre et remonter le Tiz âb, puis il a suivi le cours du Khamdan et du Chayouk jusqu'à Ladak, qui paraît être son royaume de Yu hoeï. De Yu hoeï il y a vingt-cinq journées (sans doute à l'ouest) pour arriver à Kie tchha. I1 faut donc chercher ce pays dans le Baltistân, qui est le petit ou premier Tibet ou dans le voisinage.

Klaproth thus places the sources of Kara-su in the Tsung-ling, identifying this system with the Kara-korum. Chieti-ch` a (Kie-tchha) he places in or near Baltistan. ABEL RÉMUSAT is of the same opinion, though he regards the Tung-ling as a meridional range:

On veut parler ici des monts Tsoung ling, les montagnes de l'Oignon, à l'ouest de Khotan, chaîne qui va, dans la direction du nord au sud rejoindre le massif de l'Himâlaya .... Les voyageurs partant de Tseu hó, le rencontrèrent après s'être dirigés vers le midi pendant quatre jours; ils furent

I Op. cit., p. 20, note 2.

2 »Aus Fa Hians Erzählung ergibt sich, daß Khotan damals keineswegs durch die Ketten des Thsoungling im Südwest, wozu dort auch die Verzweigungen des Hindu Khu und Kaschmir Himalaya zu rechnen sind, weglos, also gänzlich von I-Iindostan abgeschnitten war, und isoliert dastand. Keineswegs, damals waren schon Wege durch dieses Gebirgssystem bis Kabulistan, zumal in die Gegend des heutigen Jellallabad gebahnt, ein Weg, den Fa Hian durch das Schneegebirge und die buddhistischen Bergstaaten Tseuho, Kietscha und Tholy zurücklegte. Tseuho, bisher unbekannt, soll nach der neuesten chinesischen Reichsgeographie, Sect. 419, an 5° im W. von Khotan und N. W. von Yarkend liegen, am Karasu, das wäre auf der Straße zum Karakul-See über die Pamir-Hochebene, derselbe Weg, den wir, nach Obigem, nach den späteren Reisenden, Hivan Thsang und Marco Polo, ebenfalls noch gebahnt finden. Aus dem Folgenden wird sich ergeben, daß damals, ebenfalls, längst schon der Verkehr zwischen Khotan und Kaschmir Bestand hatte, von wo wahrscheinlich die erste Buddha-Mission in Khotan eingewandert war.» — CARL RITTER, Die Erdkunde ..., Bd. VII, Berlin 1837, p. 356.

3 Foé Koué Ki ou relation des royaumes bouddhiques ... Voyage par Chÿ Få Hian. Traduit ... par M. Abel Rémusat, Ouvrage. ... revu ... par M. M. Klaproth et Landresse, Paris 1836, p. 29.

4. VIII.