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0050 Cinq Cents Contes et Apologues : vol.3
Cinq Cents Contes et Apologues : vol.3 / Page 50 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000294
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TSA PAO TSANG KING (N° 404)

balayait de bon matin la maison familiale et les alentours de la porte d'entrée, aperçoit le Buddha et en conçoit de la joie. A cause du sentiment qu'elle a éprouvé, elle renaît en qualité de devî ; de même que toutes les devis dont il a été question dans les contes précédents, elle comprend pour quelle raison elle a obtenu sa félicité précédente ; elle redescend auprès du Buddha, l'écoute expliquer la Loi et devient srotâpanna.

(Trip., XIV, 10, p. 20 r°.)

Un notable de Wang-chö tch'eng !Râjagrha) a invité le Buddha à venir chez lui pour lui faire des offrandes. A cause de cette bonne action, il renaît en qualité de deva.

(Trip., XIV, 10, p. 20 ro.)

Un bhiksu, qui était un arhat, vient mendier à la porte d'une famille dont l'occupation consistait à presser des cannes à. sucre ; la femme du fils de cette famille met un gros morceau de canne à sucre dans son bol. La belle-mère, irritée de cette libéralité, frappe sa bru à coups de bâton et la tue. La jeune femme renaît dans la condition de devî.

N° t'Oh.

(Trip., XIV, 10, pp. 20 r°-v°.)

Autrefois dans la ville Chö-wei (Çrâvastî), il y avait une femme qui, assise à terre, broyait des parfums. Sur ces entrefaites, le Buddha entra dans la ville ; quand la femme le vit, elle conçut une pensée de joie et oignit les pieds du Buddha avec le 'parfum qu'elle était occupée à broyer.

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