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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.3 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.3 |
VARIANTES ET NOTES. /155
dont M. Kosegarten a publié des extraits (Commentatio, p. 15). Mais le total des distances qui séparaient Khârezm d'Alcât,, Aicât de Wabkéneh, et ce dernier endroit de Bokhâra, ne donne que onze jours.
P. 21 (1). Au lieu de Sibâieh, le ms. 9o8 porte i<.4.14..., , Siâ-
çah. Le ms. 911 présente ici une lacune de près de deux lignes, depuis jusqu'A j i (3,. Outre les deux passages d'.Cdrîci que nous
avons indiqués entre parenthèses, on en trouve, dans ce géographe, un troisième où il est question de la même localité, seulement elle y est
nommée Senkâ, , ou Sekâ ah, lu„µ, (t. I, p. 467).
P. 2 3 (1 ). Voyez sur cette tradition ridicule , admise aussi par Guillaume de Rubruk (édition de Francisque Michel et Th. Wright, p. 65 et 173), les observations de feu le baron C. d'Ohsson, Histoire des 1PMongols, t. I, p. 36, 37, note; cf. le Voyage à Péking, à travers la Mongolie, en 1820 et 1821, par G. Timkovski, t. I, p. 155 et 179, et Keligren , Nouvelles annales des voyages, V8 série, t. XV, p. 226. —.Ibid. (2). Au lieu de le ms. 9o8 porte fLo L.± , «il excitait leur convoitise». — Ibid. (3). Le
vrai nom de ce prince était'Aiâ eddouniâ Weddîn, Mohammed, fils de Tacach. Sindjar n'était qu'une espèce de sobriquet adopté par lui, dans l'espoir que la durée de son règne égalerait celle du règne du sultan Seldjoukide, si célèbre sous ce nom. (Voyez Mirkhond, Histoire des sultans du Khârezm, édit. Defrémery, Paris, 1842, p. 56, 57; et C. d'Ohsson, Op. suer. laudat., t. I, p. 182.) Quant au nom de Djéiâl eddin, personne n'ignore qu'il appartenait au fils de Mohammed.
P. 27 (1). Le ms. 910 ajoute ici, par suite sans doute d'une répétition, l,.i,JP) ÇA UE
P. 39 (1). Au lieu de , ainsi que nous avons cru devoir lire (à
la quatrième forme de J , «faire en sorte qu'une chose soit vis-à-vis de
on pourrait lire _ I , à la seconde forme. Alors la phrase
quelqu'un»), P ~` p
signifierait : «il prit mes manches et baisa la main avec laquelle il les avait touchées, etc. ». On sait qu'actuellement encore les Turcs, surtout quand ils parlent à un supérieur, portent fréquemment la main sur la bouche et ensuite sur le front, ce qui est regardé comme un témoignage de respect et de soumission. On se salue aussi en appuyant la main droite sur la bouche. (Cf. l'extrait de Frescobaldi ,donné dans notre premier volume, p. Xxxvill; et ci-dessus p. 171 l'histoire de Balaban.) Au lieu de
c1~ | , le ms. goß porte c~.. , «retourner une chose, la maniera. |
P. 43 (1) . Au lieu de (i)t, ie ms. 9o8 porte j.sb f .
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