国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.3 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.3 |
442 VOYAGES
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visiter, et, en me voyant, il me dit : « Tu n'es pas malade. » Je lui répondis : « Ce qui me tourmente est une maladie morale. » Il reprit : «Fais-la moi connaître, » Je répliquai : « Envoie-moi ton délégué, le cheikh de l'islamisme, et je l'en informerai. » Ce dernier étant venu, je l'instruisis de ma position, qu'il fit savoir à Sadr aidjihân, Celui-ci alors m'envoya mille dînârs d'argent, et je lui en devais déjà. autant.
Bientôt après on me demanda d'acquitter le restant de la dette ci-dessus à Kiouâm eddîn, et je me dis, à part moi : « Il n'y a que le susnommé Sadr aldj ihân qui puisse me tirer de là, car il est très-riche. » Or, je lui envoyai ce qui suit : un cheval sellé dont le prix, uni à celui de la selle , était de seize cents dînârs; in second cheval qui valait, avec sa selle, huit cents dînârs; deux mulets, valant douze cents dînârs; un carquois d'argent, et deux sabres, dont les fourreaux étaient recouverts d'argent. Je lui dis : « Vois ce que vaut le tout, et envoie-m'en le prix. » Il garda toutes ces choses , les estima trois mille dînârs, m'en expédia
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