| | | | | | | | 66 LES CASTES INFLRIE leurs hanches sous prétexte de jouer avec sur leur épaule droite('). Nous reviendro contraste qu'offrent ces figures et qui es que ce sont évidemment des transposition Peut-être sied-il encore ici de classer la musique, la fée qui joue de la vînd sur voir de préférence une Gandharvi (cf. plus Du moins devons-nous en rapprocher auss féminines qui soient détachées (fig. 34 o). prétendre, semble-t-il, à une dénominati ~ son de son laksana, le luth, et de son vdh. M. A. Grünwedel a depuis longtemps pro la déesse Sarasvatî. A la vérité, il est le pre ce qui donnerait, selon lui, quelque vrai ture, ce serait beaucoup moins la place (e que la grande Muse indienne occupe bouddhiques, que le rôle assez important jouer dans le panthéon mahâyânique, en Bodhisattva Manjuçrî, dont elle posséderai rite (2). A cette raison, qui a son prix, nous une autre, tirée du culte spécial dont, si elle a joui au Kaçmîr, où son image m détruite qu'au xve siècle de notre ère (3). volonté du monde et en tenant le plus gran |
| | | | | | | | 0) Cf. A. M. L, pl. 58 et 59 ; sur la figure 337 le miroir est monté sur un manche, au lieu d'étre tenu par une boucle, comme sur la figure 472 ; on peut rapprocher de la femme de la figure 473 , celle ( aujourd'hui à Calcutta ), qui, sur la planche des A. M. I. tient de la main gauche la cage de l'oiseau apprivoisé lequel s'enhardit également jusqu'à becqueter les fleurs de sa coiffure. Ajoutons que d'après l'analogie de Barhut, | les piliers naissent a école» de flueuce ga I°r ou ne si -
Budd glaise (bea
l'affirmatioi' Bouddhisme -
Bdjato t. Il , p..a 7 |
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