90 LES CASTES MOYENNES.
témoignage de nos yeux. Il ne se peut pas que, par co l'uniformité des icones, nous n'ayons été frappés d de leurs adorateurs. Visiblement la pierre corrobore des inscriptions votives sur la diversité et parfois auss des souscripteurs. C'est ainsi que nous rencontrons no des moines et des laïques (fig. 347 a et b) mais encore d'offrandes faites en famille, «les femmes et les enfa frères et les soeurs" associés à la bonne oeuvre. De familiaux, avec les différences d'age et de sexe, de costumes qu'ils comportent, se présentent apparemm les figures 137, 9,11, 3116 et 349. Celui qui figure su ment de la figure 77 compte un nombre impair de me connaît le goût de nos artistes pour la symétrie, ce se raît déjà comme une preuve flagrante de son caractè non décoratif. Parmi les sept orants, nous relevons un zélateurs laïques, deux femmes et un petit enfant. Sur les membres de la parenté se balancent de façon plus I A la gauche du Bodhisattva se tiennent le père et femme qui suit celle-ci est-elle l'aînée des filles ou u moine qui, de l'autre côté, paraît stimuler la dévotion s est-il leur directeur de conscience à tous, ou simplem fils ou encore leur oncle? Nous ne savons : mais nou tout cas compter au moins quatre garçons et deux fill: espoir d'une pieuse maison. Surtout il nous appar. que ces gens ont posé devant l'artiste exactement com de nos jours en face de l'objectif du photographe. C légitime nos recherches et justifie notre espoir en le
LES COSTUMES. — Déjà, en ce qui concerne leur asp nous pouvons arriver à une précision assez grande. L rnèrent en effet les diverses pièces qui constituaien tandis que les monuments nous apprennent la façon libre à nous de contrôler les uns et les autres par ro
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