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L'art Greco-Bouddhique du Gandhâra : vol.2 |
78 LES CASTES INFÉRIEURES.
indienne de toutes : nous voulons parler de la c qui épousait le contour des hanches, assemb chaînettes, de plaques, voire même de clochettes propagé du bassin du Gange au Turkestan. D on y ajoute volontiers comme pendentif une Le tout se portait parfois par-dessus le vêteme 335-336), mais le plus souvent par-dessous(), un renflement fort disgracieux (fig. 375; cf. t en dirons autant des lourds anneaux, ordinair notamment fig. 162, 2114, 318-319, 336 et les chevilles. Les autres bijoux, pour être plus européennes, ne sont pas toujours de meill moins ii suffira de les énumérer rapidement. lets, rares aux bras, constants aux poignets. Ce colliers : les uns souples et faits tantôt d'un (fig. 318, 335-336), tantôt d'un amas de cha
enfilés (fig. 374-378, etc.); les autres rigides incrustés de pierres précieuses, et qui se cumule Ce sont encore de grosses boucles qui distende
lobe des oreilles. Ce sont enfin les diadèmes q lièrement le front. Ils affectent ordinairement 1
couronne lauréeO, ornée sur le devant d'un fl
sur les cheveux. Ou bien une partie de ceux-ci
à l'intérieur du diadème (fig. 374-37,, 382-3
(I) Pour la forme de ces clochettes, cf. ci-dessus fig. 98 et 151.
Cf. M. A. STEIN, Anc. Khotan, pl. II, et A. GRÜ\WEDEL, Deutsche Literaturzeitung, 7 mars 1908, p. 587; Altb. Kult. Turk., fig. 280. On trouve des détails de ceintures chez CUNNINGUAM, Barhut, pl. LI.
Ceci était la règle. Cf. le Mahabadrata, ni, 112, II: dans sa description des femmes, qu'il vient d'apercevoir pour
la première foi çriliga dit mg sous leur vête hiranmaji mek
M. le Pr les a retrouvé p. 1i8 et pi. I,
ingénieusemen en paille tordu
mes de l'Ind pour porter d
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