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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

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0174 Mémoires Concernant l'Asie Orientale : vol.3
東アジアの記憶 : vol.3
Mémoires Concernant l'Asie Orientale : vol.3 / 174 ページ(カラー画像)

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doi: 10.20676/00000249
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138   MÉMOIRES CONCERNANT L'ASIE ORIENTALE

récompenser, Houang ti le nomma supérieur des cinq pics Alik A, et le chargea de commander aux dieux de toutes les montagnes (cf. Ts'ivan T'ang wen, chap. c:Mxxxn, pp. 14° et 1 4b ), La montagne Ts'ing-tch'eng est le siège de l'administration de tous les dieux *Al fin* Uf (cf. Kouang yu ki, chap. xvi, p, 4a ).

No 6.

La Profondeur Tch'e-tch'eng, Lieu céleste Chang-yu ts'ing-p'ing ; son périmètre est de 800 li ; c'est le vénérable Wang qui l'administre ; elle est dans la sous-préfecture de T'ang.hing, qui dépend de l'arrondissement de T'ai.

La montagne Tch'e-tch'eng :r• fg est à 61i au nord de la sous-préfecture de rien-rai 3c 1 qui dépend de la préfecture (le T'ai-tcheou â ßi , dans la province de Tchö-kiang. A l'Ouest de cette montagne est la grotte Yu-king * H ; c'est celle qui est la sixième des grottes taoïstes de la série de dix (Ta ts'ing yi l'ong telle, chap. ccxxix, p. 2b et Kouang yu ki, chap. xi, pp. 31 a —328-b).

N° 7.

La Profondeur Lo-feou, Lieu céleste Tchou-ming yao-tchen; son périmètre est de 1.000 li; c'est Ko Hong qui l'administre; elle est dans la sous-préfecture de Po-lo et dépend de l'arrondissement de Sieou.

La montagne Lo-feoti est à 50 li au Nord-Ouest de la sous-préfecture de Po-lo ft , qui dépend de la préfecture (le Houei-tcheou t FFI, dans la province de Kouang-tong. Elle passe pour être formée de deux montagnes dont l'une se serait détachée, au temps de l'empereur Yao, de l'île enchantée

P'ong-.lai l'   , et serait venue en flottant   sur la mer s'adjoindre à la
montagne Lo ils ; c'est de que viendrait le none de Lo-feou (Kouang yu ki, chap. xix, p. 178 ).

La grotte Tchou-ming *Mi 14 est sur la montagne Lo-feou : Ko Hong y pratiqua la transmutation (Kouang yu ki, chap. xtx, p. 188 ).

Ko Hong est le fameux écrivain et magicien taoïste du quatrième siècle de notre ère auquel on attribue la rédaction du Chen sien tchouan (cf. Giles, Biog. Diet., n° 978).

Dans une composition lit térairc d'un certain Li Nan-tcheng * i4i 44 qui vivait sous la dynastie des Song, vraisemblablement à la lin du dixième ou