国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
| |||||||||
|
Mémoires Concernant l'Asie Orientale : vol.3 | |
東アジアの記憶 : vol.3 |
2i0 MÉMOIRES CONCERNANT L'ASIE ORIENTALE
1.15'. Cet autel doit ici symboliser la terre elle-même.
Cette phrase parait être interpolée.
L'énumération 4 jL f o l Lam. i>
o g o se retrouve dans WIEGER, 4208,
C. T., 443, fasc. 9, avant-dernière page, verso. On
sait que, dans la liste des dix caractères cycliques, les caractères won et ki correspondent à l'élément .Terre.
Ces deux phrases paraissent être ici une interpolation.
Le début de la prière qui va suivre est fort obscur. Au lieu de 5jû j. , WIEGER, 4204,
C. T., fasc. 433, fasc. 5, p. 4a, écrit jG .~ X,
variante qui ne me parait pas devoir être adoptée; le livre saint dont il est ici question estle W i EGEn 2E 119'. L'expression Pl* VA 5C doit être syno-
nyme de IF ; cf. p. 208, n. 88.
1.49". Au lieu des mots X I , WIEGER,
4204; C. T., 433, fasc. 5, p. 4a, écrit pljt./ ;
cette leçon ne serait admissible que si on plaçait
cette phrase avant (et non après) les mots ±
5f ; elle se rapporterait alors à l'époque lointaine « où l'essence véritable, en se sectionnant, a pris le , direction des êtres vivants», c'est-à-dire où le Tao; en se sectionnant, est devenu le principe directeur de la foule des êtres vivants.
Au lieu de .. aa, la citation qui est
falte de ce début dans WIEGER, 1204, C. T., 433,
fasc. 5. p. 4a, donne la leçon ± ; cette
correction s'impose. I1 est évidemment question ici du livre saint ri, contenant les textes vérita-
bles en caractères rouges, qui était mis sous le patronage.du dieu de la Primitivité originelle et des cinq Empereurs d'en haut; cf. p. 202, n. 36".
Tout ce qui précède la mention des écrits véridiques et du livre saint est au génitif; cette
position me parait signifier que le livre saint contenant les écrits véridiques remonte à l'époque reculée où le monde s'est constitué.
121'. Au lieu de 7L „ WIEGER, 1204, C. T., 433, fasc. 5, p. 4a, donne la leçon 5L, ; je ne sais si cette leçon est préférable.
121". WIEGER, 1204, C. T., 433, fane. 5, p. 4a,
donne la leçon VI Jet ; cette variante que j'ai
adoptée dans un autre cas (cf. p. 209, n.101), ne me
parait pas admissible ici ; indique
l'époque lointaine où les trois Principes du ciel, de l'eau et de la terre n'étaient pas encore distincts et • coexistaient.
Les neuf terres jL ± sont ici les neuf ré_ gions obscures jL i l qui sont au plus bas de l'univers et qui sont les enfers où gémissent les émes non encore sauvées.
Cf. p. 200 et 201, n.. 26 et 34.
123'. Cf. p. 205.
424. Cf. p. 210, n. 422.
125. s ; expression empruntée au boud-
dhisme et qui désigne les six conditions dans les
quelles un être .vivant peut renaître: deva, asura, homme, animal, démon affamé, damné.
Cf. p 187.
Cf. p. 204, n. 52.
Ici commence la seconde partie du rituel, celle qui concerne la cérémonie lsiao.
Cf. p. 173, n. 24. 430. Cf. p. 173, n. 25.
Ici commence 'une longue énumération de divinités qui sont réparties entre treize paragraphes ; les trois premières catégories sont introduites par la formule a** « avec respect je m'acquitte du soin de faire descendre » ; les catégories 4 à 7,
par la formule a j « avec respect j'invite en
haut »; les catégories 8-10, par la formule a
« avec respect j'invite » ; les catégories 41 et 12,
par la formule a « avec respect je m'ac-
quitte du soin d'insister » ; la catégorie 13, par la
formule « je m'acquitte du soin d'éviter ».
La différenciation des formules correspond à une hiérarchie décroissante dans l'énumération des divinités.
Cf. p. 200, n. 23.
Le Tseu-wei( est la région du ciel où se trouve 'étoile polaire entourée des étoiles qui sont comme ses ministres.
Cf. p. 196, n. 4.
435. ; a. Étant donnée la phraséologie
adoptée dans tous les paragraphes suivants, ces mots doivent désigner un groupe de personnages surnaturels ; peut-être veut-bn désigner ici ceux qui, dans d'autres énumérations (1VIEGEn,1208, C, T., 443, fasc.'!, p. 16° et 17a, fasc. 10, p. 18° et 444. fasc. 2, p. 46°, fasc. 8, p. 21"), sont appelés E
12 --tintta « toutes les pures essences des trois mondes qui exaucent quand elles sont touchées »; de même, plus haut, nous avons vu la formule, 202, n. 38. AM* J G f •
135'. C.f WIEGER, 1208, C. T., 443, fasc. 1, p. 10° et suiv. : Hg *I 'r f ' o~J
o•
4I 'hj {I x. 1 * rit• Le titre de t'ien
Kouang la li « Grand Empereur, souverain céleste » s'applique proprement à Pei-ki « l'étoile polaire »; mais Pei-ki a, parmi ses assistants, la constellation Keou-tch'en qui constitue sa garde (cf. SCHLEGEL, Uranographie chinoise, pp. 523-526); aussi est-il souvent désigné comme étant « le grand Empereur souverain céleste, qui est dans le palais stellaire
keou-tch'en » «j g a* r (cf. WIEGER,
1208, C. T., 443, fasc. 4, p. 11a, fasc. 2, p. 3°). Ici les noms de Pei-ki et de Keou-tch'en sont associés de manière à ne désigner plus qu'une seule et même
divinité.
Cf. WIEGER, 4208, C. T. 443, fasc. 2, p.40°
et suivi : it t 5C o i A
& . Cf. SenLEGEL, Uranographie chinoise,
p. 529.
|
Copyright (C) 2003-2019
National Institute of Informatics(国立情報学研究所)
and
The Toyo Bunko(東洋文庫). All Rights Reserved.
本ウェブサイトに掲載するデジタル文化資源の無断転載は固くお断りいたします。