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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.2 |
364 VOYAGES
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leurs chameaux et leurs boeufs, des arabah où ils sont attachés, et les mettent en liberté, afin qu'ils se repaissent, soit de nuit, soit de jour. Personne ne fait donner de fourrage à un herbivore, pas même le sultan. C'est le propre de cette plaine, que ses plantes remplacent l'orge pour les bêtes de somme, et aucun autre pays ne possède cette propriété. Pour ce motif, les bêtes de somme sont en grand nombre dans le Kifdjak; elles n'ont ni pasteurs, ni gardiens, à cause de la sévérité des lois des Turcs contre le vol. Voici quelle est leur jurisprudence à cet égard : celui en la possession duquel on trouve un cheval dérobé, est obligé de le rendre à son maître, et de lui en donner neuf semblables; s'il ne peut le faire, ses enfants sont saisis en remplacement de cette amende; si, enfin, il n'a pas d'enfant, il est égorgé comme une brebis.
Ces Turcs ne mangent pas de pain , ni aucun autre aliment solide (litt, grossier, dur). Ils préparent un mets avec un ingrédient que l'on trouve dans leur pays, qui ressemble à l'anly (espèce de millet) et que l'on appelle addoûyky. Pour
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