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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

MAZAR-TAGH   205

N° g66. — MT. b. oo6 a.

Fragment ; 56 mm. de haut ; 5o mm. de large.

L. i •    

L. 2 •   

966*

A4-1- Pi

-(4 1Tir    

N° 967. — MT. b. oo8.   967*

Fragment de papier très épais formé de deux feuilles adhérentes l'une à l'autre ; 24 mm. de long ; 123 mm.

de large.

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Le serviteur de M. Tchang honoré de la bourse de couleur rouge en forme de poisson.

La bourse en forme de poisson était une haute distinction de l'époque des Tang; on ne peut donc croire qu'elle ait été donnée en récompense à un simple satellite ; c'est pourquoi je considère que Tchang n'est pas le nom du serviteur, mais que c'est le nom du grand fonctionnaire auquel était attaché comme serviteur le personnage désigné sur ce fragment de papier.

N° g68. — MT. b. oo7.   968*

Fragment appartenant à la partie supérieure d'une feuille ; i8o mm. de haut ; 154 mm. de large. 7 lignes d'écriture incomplètes et difficiles à déchiffrer ; nous avons affaire à des comptes analogues à ceux du document MT. b. 009.

L. i. L.2.

L. 3

L. 4 :

L. 5

L. 6 :

L. 7 .

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L. 5: le même jour, remis à Hou Tseu-ís`ing 6 cheng de blé    

L. 6 : le dixième jour, payé 12 sapèques données å l'artisan qui a tissé les fleurs    

L. 7 : au prix de 5o sapèques par O ; au total, 5000 sapèques    

N° 969-972. — MT. b. oog.   969*

Quatre feuillets contenant les comptes journaliers d'un temple bouddhique. Trois de ces feuillets sont à peu 972* près complets et mesurent 485 mm. de long sur 285 mm. de large. Ces feuillets étaient réunis entre eux par trois coutures verticales placées l'une à 4o mm. du bord de droite ; la seconde, à 175 mm. du bord de droite ; la troisième, à 135 mm. du bord de gauche ; en regardant le papier à contre-jour, on voit très bien les trous que ces coutures ont laissées ; le feuillet III a d'ailleurs conservé quelques débris du fil de soie qui passait par ces trous. En outre, quelques autres trous se remarquent le long des plis horizontaux suivant lesquels étaient repliés les feuillets. Il est évident que ces coutures rendaient impossible la lecture des feuillets ; elles ont dû être faites quand les comptes étaient terminés et qu'on ne les conservait plus que comme des pièces d'archives : on les a alors rattachés par des coutures qui empêchaient les feuillets de se disperser et qui les maintenaient en ordre.

' Le scribe avait d'abord écrit E au lieu de it ; il s'est aperçu de son erreur et a effacé le mot E.