国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Mélanges d'Histoire et de Géographie Orientales : vol.2 | |
極東の地理と歴史 : vol.2 |
48 MÉLANGES ORIENTAUX
« Ces détails sont tirés d'autorités différentes, mais sont parfaitement d'accord. Les distances sont différentes dans les deux premières colonnes, parce que Faranunch se trouve plus près de Bahabad que Tabbas. Deux ou trois différences dans les noms sont sans importance. Burch signifie un château ou un fort ; Belucha est évidemment Chai-beluch ou le puits des Beluchi ; et il est très probable qu'un petit fort fut construit à quelque époque à ce puits qui fut visité par des éclaireurs du Belouchistan. Ser-i-julge et Kheirabad peuvent être deux campements distincts très près l'un de l'autre. Le Chashma Sufid ou « source blanche » de la carte anglaise est évidemment le même endroit que Sefid-ab, ou «eau blanche». Son God Hashtaki est une corruption du God-i-shahtaghi, ou le « creux du saxaul royal ». D'autre part, Khudafrin est très apocryphe. C'est sans doute Khuda-aferin, ou « Dieu soit loué ! », une exclamation très appropriée dans la bouche d'un homme qui arrive à une source d'eau douce au milieu du désert. Si un Anglais prenait cette route, il aurait pu confondre cette exclamation avec le nom de l'endroit. Mais alors « unsurveyed » [carte citée de 1897] serait difficilement placé juste dans cet endroit du désert de Bahabad.
« Les renseignements que j'obtins au sujet de la route de Tabbas à Bahabad sont certainement très maigres, mais aussi d'un très grand intérêt. Immédiatement au delà de Kurit, la route traverse une bande du Kevir, large de 2 farsakhs et renfermant un lit de rivière que l'on dit rempli d'eau à la fin de février. Sefid-ab est situé au milieu de collines, et Burch dans un district élevé ; au Sud, s'étend le Kevir à peine large d'un farsakh, que l'on peut éviter par un cir-
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