国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Mélanges d'Histoire et de Géographie Orientales : vol.2 | |
極東の地理と歴史 : vol.2 |
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LES FOUILLES EN ASIE CENTRALE'
Il ne faut pas confondre les recherches dont j'ai l'intention de parler aujourd'hui avec celles qui ont pour point de départ les découvertes d'inscriptions faites par Nicolas YADRINTSEV, en 1890, dans le voisinage de l'Orkhon, affluent de la Selenga, qui se jette dans le lac Baïkal : elles furent l'obj3t de missions considérables finlandaises et russes dans les régions de l' Iénisséi et de l'Orkhon, dont les princi • paux résultats furent le déchiffrement des inscrip tions kök-turques de cette région par l'illustre philologue de Copenhague, Vilh. THOMSEN, et l'établissement de l'emplacement exact de Qara Qoroum, la. capitale des Mongols Tchinguizkhanides, dans un site entre l'Orkhon et le Kokchin (ancien) Orkhon, occupé aujourd'hui en partie par le couvent d'Erdeni Tso 2. Je ne m'occuperai donc que des explorations dont le Turkestan chinois, contrée appelée Sin-Kiang (nouvelle frontière), a été le théâtre dans ces dernières années.
Extrait du Journal des Savants, mai 1910, pages 210-224.
Cf: sur cette question : Henri CORDIER, Les études chinoises (1891-1894), Leide, 1895, p. 83-86. — Les études chinoises (18951898), Leide, 1898, p. 54-60.
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