National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.3 |
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344 VOYAGES Usg' 34b 1" Jkß 4)4 Ul")S a,ns 3 1ct. . 44 )+Js3)1).4~ uizJ,wt > ,Sa ti Js .1~ w .2403 J41 Ab:4 4J1 w~b, vi kij.xit... 43a..11 v4)t ), L..43 (36 . ~ `u° ~~. l~~ ~l~Jl ß ri.; Al>>-JLI1i u} 0,4a.À4..."4 a.411 J4513 45 )..+Lo 01 ,e11s a.~.~ ~ 13J63 4)4:B 1,..0?)L S°4 01.6.1.,MJ1 At4s Jl2i13 il,w.4i (.;,;3 rs.roi 5.3:46.74. J.J6 Le monarque avait un mamloûc nommé le fils de Malic châh , qui était chargé d'espionner le susdit 'Ain almolc. Il fit part au sultan que cet émir avait pris la fuite et avait traversé le fleuve. Alors le sultan se repentit de ce qu'il avait fait (conf. Korân, vii, 148), et pensa que sa perte étaitiniminente; car les chevaux, les éléphants, les céréales étaient tous entre les mains de 'Aïn almolc, tandis que ses propres troupes se trouvaient éparpillées. Il voulait retourner à Dihly, afin de rassembler des armées, et de revenir ensuite pour combattre le rebelle. C'est sur ce sujet qu'il tint conseil avec les grands de l'État. Les émirs du Khorâçân, ainsi qua tous les étrangers, étaient ceux qui craignaient le plus 'Aïn almolc, parce qu'il était Indien. Or, les indigènes haïssaient beaucoup les étrangers, à cause de la faveur dont ceux-ci jouissaient près du sultan. Ces émirs désapprouvèrent le plan du souverain , et lui dirent : « Ô maître du monde! si tu retournes dans ta capitale, le rebelle le saura; sa condition deviendra meilleure ; il lèvera des troupes; tous ceux qui cherchent les troubles et qui ne demandent que les guerres civiles accourront près de lui. Il vaut donc mieux l'attaquer | |||||
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