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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 | |
五百の物語と寓話 : vol.4 |
PO YU KING ( N°` 303-330). 169
N° 303.
La version chinoise que nous avons ici a été signalée pour la première fois et traduite par F. W. K. Müller (T'oun8 Pao, 2°série, 5 , p. 5 9 7-6 0 0) et en même temps par Huber (B.E.F.E.-0.,
19o4,, p. 1091.
XXX V I , 4 , 6 18.
Dharmaparîksâ, d'Amitagati, un jaina de la secte des Digamharas qui écrivait en 1 o 1 4 p. C. (le texte de cette anecdote a été publié et traduit par Pischel dans l'article signalé ci-après). — Vetâlapancavi ,çatikâ (éd. Uhie, XXXIII, 63 ). — Ce récit a été recueilli aussi sous diverses formes populaires en Inde; on en trouvera l'énu mération dans l'article de Pischel intitulé Gutmann und Gutweib in Indien (Z.D.M. G. , vol. LV III , 1904 , p. 363-373). Cf. aussi Reinhold Köhler, Jahrbuch f ir Romanische und Englische Literatur, 187 1, XII, p. 318; Clouston, Popular tales and fictions, t. Il, p. i 5-26; René Basset, Revue des traditions populaires, VII, p. 189 ; Chauvin, Bibliographie des ouvrages arabes (fasc. 8 , p. 13 2 ).
La poésie de Goethe généralement connue sous le titre de Gutmann und Gutweib, est inspirée d'une ballade écossaise recueillie par Herder en 1776 et peut-être aussi d'une autre rédaction publiée en 1792 par Robert Burns dans leScots Museum de Johnson.
N° 324.
Kandjour (Schiefner, Mémoires de l'Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg, 7e série, t. XXII, n° 7, p. 55 ; correspond à Trip., XVII, 2 , p. 17 r°).
N° 330.
Cf. l'article déjà signalé d'Huber sur le Divyâvadeina, Mâkandika avâdana, où il est dit qu'un brahmane fait périr par un incendie la seconde femme du roi, tandis que la servante s'échappe par le trou d'écoulement des eaux.
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