国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 | |
五百の物語と寓話 : vol.4 |
LIEOU TOU TSI KING (N°' 35-37). 105
Serivânija jâtaka (Jâtaka, n° 3).
Iconographie : Brique émaillée de Pagan (Grünwedel, Bud-
dhistische Studien, fig. 6 t).
XXXVI, 3, 63b. Cf. n° 425.
Jâtaka, n08 2 0 8 et 342. — Mahâvastu, II , 2116 . — Pancatan-
tra, IV, p. 1811. Benfey, II, 285. — Même récit, Çukasaptati
(trad. Richard Schmidt, p. 93-95). — Sindibad nameh (cf. Hertel,
Z.D.M.G. , XX, t 9 0 6 , p. 187-2 o 6 ). — Alter Aesopus (XIIe siècle;
dans Edélestand du Méril, Poésies inédites du moyen âge, p. 232- 233). — Directorium humane vitae, chap. vI.
Cette fable a été retrouvée par le Dr C. G. Büttner chez les Suahelis de l'Afrique orientale (cf. Z.D.M.G., VII, 1893, p. 215-
216).
Benfey (Pantschatantra, I, p. It 2 5) a signalé la parenté qui existe entre la scène du singe allant en mer sur le dos du dauphin
et la fable ésopique Le singe et le dauphin (cf. La Fontaine, IV, 7).
XXXVI, 4, 53b-54b.
Des récits plus détaillés de ce conte se trouvent dans : le Ken
pen chouo yi ts'ie yeou pou p'i nai ye ( Trip. , XVI , 9, p. 1 0 5 r°10 8 r°, analysé par Huber, B.E.F.E.-0. , VI, p. 23; — le Tch'ou yao king (Trip., XXIV, 6, p. t o v°-1 t vo); — le Ta t'ang si yu ki ( Trip. , XXXV, 7, p. 5 2 r°-56 r°; Julien , Mémoires de Hiouen-thsang, t. II, p. 131-l4o), oit cette légende est racontée pour expliquer l'origine du nom de Ceylan a le royaume du fils du lion».
Valâhassa jâtaka (Jâtaka, n° 196); version tibétaine : J.R.A.S., XX, Soli. Le Divyâvadâna (Mâkandika avadâna, n° 36, p. 523- 5 2 8) renvoie au Reiksasi dura.
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