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Le T'ai Chan : vol.1 | |
泰山 : vol.1 |
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et irp4 K'ien k'ouen t'ing „Pavillon du Ciel et de la Terre." — En ce lieu s'élevait, au temps des Ming, le
temple Kia-sien (A, VIII, 12 r°). Lorsque, en
1684, l'empereur K'ang-hi fit l'ascension du T'ai chan, il donna à ce temple un écriteau avec les mots : „I1 illumine
partout le Ciel et la Terre" -1 ett ; on construisit
alors un pavillon qui prit le nom de Pavillon du Ciel et de' la Terre. Aujourd'hui, le temple et le pavillon ont entièrement disparu ; il ne reste plus que le mur d'enceinte dont les portes de pierre à l'ouest et au sud se profilent sur le ciel (fig. 18 à l'arrière-plan) ; au milieu de l'aire carrée qui est au centre, on voit se dresser une stèle sur laquelle ont été gravées des poésies composées par l'empereur K'ien-long en 1757 et 1762 (voyez la fig. 32 dans l'ouvrage du P. Tschepe).
Derrière cette enceinte en ruines, une stèle gravée en 1837
par Yen Ki-tsou porte les mots : „Endroit d'où
K'ong tseu trouva le monde petit" 3- AN I •iTS;
on lit en effet dans Mencius (VII, à, 24) ; „Quand Confucius monta sur le T'ai chan, il trouva le monde petit. De même, celui qui a contemplé la mer a de la peine à compter pour quelque chose les autres eaux ; celui qui a fréquenté chez le sage a de la peine à compter pour quelque chose les paroles des autres."
fg 114' T'an hai the „la roche qui cherche à voir la mer." C'est le nom d'une roche qui semble un homme tenant en main la tablette hou d et saluant du côté où doit se trouver la mer (A, VIII, 16 r°)."
gy, kei4 Kouang fong t'ing „Pavillon d'où on voit le pic". — Ce nom signifierait que, de ce pavillon, on peut contempler. le pic appelé je kouan fong (n°. 23); mais, comme un pavillon ainsi nommé n'est mentionné dans aucun des ouvrages que j'ai consultés sur le T'ai chan, je me demande
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