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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

à .   INTRODUCTION   .

• pierres des chambres antérieures et postérieures, ainsi que les plan«- ches d'objets merveilleux; il les encastra dans les murs d'un éçlifice. « En l'année i-yeou', en automne; au septième mois, Li K'o-tcheng, dont.

• le surnom est Mei-ts'uen et Lieou Tchao-yong, dont le surnom est « Koei-sien, tous deux originaires de Hong-t'ong, en surveillant le tra« vail et en élevant le bâtiment, firent une troixvaillè complémentaire : « les dix pierres sculptées des chambres de gauche; elles contenaient « cent six caractères li; elles étaient, encore moins que les autres, con-

• nues auparavant on les a donc maçonnées dans les murs et on a- -~ « écrit cela afin d'en conserver le souvenir.

Sept ans plus tard, un certain Ts'ien Yong visita le .musée ainsi créé et grava une inscription qui a été logée dans le mur du sud, à la suite de celle de Wong Fang-kang. Elle est conçue en ces termes 4 :

'« Les chambres de pierre de la famille Ou , sous la dynastie Han, se « trouvent au pied de la montagne Ts'e-yun, dans la sous-préfecture du

• Chan-tong appelée Kia-siang. A partir des dynasties Song et Yuen « elles furent dispersées et altérées et peu. s'en fallut qu'elles ne dispa

• russent. La cinquantième année du règne de Kien-long, Hoang I, ori-

• ginaire de. Ts'ien-t'ang et Li K'o-tcheng et ses compagnons, origi.. « naires de Hong-t'ong, à des moments divers trouvèrent en tout plus de quarante pierres, soit trois bas-reliefs de la chambre funéraire

• d'Ou Léang, quatorze des- chambres de pierre antérieures, deux qui

• forment les deux faces d'une -même pierre', dix des chambres de

• pierre postérieures, une colonne, dix bas-reliefs des chambres de

• pierre de gauche, quatre; planches d'.objets merveilleux, une stèle de

• Ou Pan, gouverneur militaire du Toen-hoang.; puis, sur l'ancien em-

. 1. En 1789.

2. Voir le texte de cette inscription : planche.XLIV, f

3. La- plupart des épigraphistes chinois ne comptent que quinze bas-reliefs des cham' bres antérieures, paree,qu'ils négligent la seconde face de la quatorzième pierre.

4. Il n'y a en réalité que deux. planches mais l'une d'elles, comme nous l'avons déjà remarqué, est brisée en trois fragments.