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L'art Greco-Bouddhique du Gandhâra : vol.1 |
FRAGMENT DU MÊME SUJET. Musée de Calcutta, no G. 17. Hauteur : o m. 35. D'après une photogr. du Musée. |
LES SCÈNES DEBOUT. 549
levant son foudre devant un Nâga puisse être considéré, tour â tour, dans une «scène assise') comme un signe passif d'alliance, clans une «scène debout') comme une marque active d'hostilité. Servie par une méprise si spécieuse et poussée par l'éternel besoin d'édification,
l'ingénuité des fidèles de l'Udyâna — ou, si l'on préfère, l'ingéniosité de quelque missionnaire bouddhique — a fort bien pu greffer toute une légende locale sur un bas-relief qui n'en pouvait
FIG. 9.7 ?. --- FRAGMENT DU MME SUJET.
Musée de Calcutta, no G. 17. [fauteur : o rn,. 35.
D'après une photogr. (lu Musée.
mais,, et ainsi serait née l'interprétation que Hivan-tsang nous a conservée. Ajoutons que le même phénomène avait da se produire dans la vallée de Kaboul. Il ne fait pas de doute pour nous que ce ne soit devant des sculptures sensiblement pareilles à celles que nous voyons ici reproduites, que, près de Nagarahâra, Hivan-tsang a recueilli la légende toute semblable de l'asservissement par le Bienheureux du méchant dragon Gopâla. Que demain se fassent à
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