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étre même a-t-il cru que ce n'éI it pas Aine q, es3 tison. M. Abel, médecin, de l'ambassade' anglaise qui a traversé la Chine il y a deux ans, a vù et tenu le sceptre de pierre (le itt que l'empereur. a envoyé en présent au Prince-Régent, et il a eu de plus à sa disposition divers échantillons de la même substance, que sir Georges Staunton lui avait remis pour en déterminer la nature. Il en donne une description exacte et détaillée c'est, suivant lui, une pierre d'un blanc verdâtre, passant au vert grisâtre,, et au vert d'herbe foncé. Intérieurement. elle est à peine brillante. Sa cassure est écailleuse, et les écailles en sont blanchâtres. Elle est demi-transparente et raie fortement le verre; mais elle ne raie pas le quartz, Iequel rie .Ia raie pas non plus, Au chalumeau elle est infusible sans addition (1). Sa pesanteur spécifique est de 2, 858; 3 , 4; 3 ,
(T) Ceci est sans doute une erreur : l'ensemble des caractères rapportés par l'auteur ne permet pas de douter que la pierre de iu ne soit fusible ; mais il aura peut-être opéré sur des fragmens trop consi-
d dérables, ou manqué par quelque'autre cause cette petite opération, qui exige de l'habitude et de la dextérité.
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