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restera peu de doute à ce sujet, si l'on veut rapprocher les épithètes de nepocoea et de aarôfoo données au jaspe par bioscoride et Denys le Périégète, ainsi que l'explication qu'en fournit le scholiaste de ce dernier, et que j'ai rapportpe plus haut.
J'ai réservé pour la fin les passages qui contiennent plus de détails sur le jaspe, et oh les différentes espèces de cette pierre sont plus exactement comptées, savoir : ceux de Pline, de St. Epiphane , d'Isidore de Séville, et de Psellus. Ils me paraissent mériter d'être cités en entier, et ils doivent servir de base à une détermination qui ne saurait être exacte, à moins de cadrer â ces données fondamentales.
Le jaspe est mis par Pline au nombre des
pierres vertes , avec l'émeraude , le prase , la topaze , etc. I1 en cite pourtant aussi des espèces pourpre, rose, et d'une troisième couleur
rait même le rendre par brillant , éclatant , puisque, selon une bonne observation de Hemsterhuis, les Grecs appelaient 'p quidquid grata colorum varietate verrat. Tyrvvhitt attaque aussi !a quantité de âep.ôxpoor; niais clans un poëte aussi négligé que ce moderne Orphée, cette objection est légère. »
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