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été reprises et soutenues par bien d'autres écrivains ; je n'en parle ici que parce que ,41. nager a su en tirer parti avec beaucoup d'habileté pour fortifier la sienne propre. Mais puisque j'ose entreprendre de combattre cette dernière , on, peut bien croire que je ne me rendrai pas â l'autorité d'crivains peu instruits en ces matières, qui d'ailleurs se sont mis en opposition formelle avec les lexies des anciens , comme il est aisé de le faire voir.
La pierre murrhine n'était pas transparente , comme on l'a pensé d'après un passage mal interprété d'Arrien (1). Martial donne à entendre . que les vases qui en étaient faits ne laissaient pas paraître à l'extérieur la couleur du vin (e). Il en serait à-peu-près de même dans, une coupe de jade ou de pierre de lu. Le splendor sine viribus.., .et le nitor.
(z) Per. mar. Erytlir.apud Geegr. vet. script. p.4.
(2) Ep., 1. IV, ep. 86.— Cette épigramme n'a pas été oubliée par tous ceux qui ont écrit sur les vases rnurrhins, comme l'a pensé M. de Rosière. Elle est citée par M. Nager, p. 164 de la Numismatique chinoise.
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