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Histoire de la Ville de Khotan : vol.1 |
( 19r) )
que M. Haüy les réunit sous le nom de jade
oriental.
ce Mais ce jade oriental n'est incontestable; merit qu'une modification imparfaite d'un type susceptible de cristalliser. Où est ce type? Nous reste- t-il â découvrir , ou faut-il le chercher r~ parmi les minéraux cristallisés que nous con- d1 naissons déjà ? Or, Monsieur , cette question n'est pas encore résolue. Tout ce que ie puis dire., c'est que, dans l'état de nos connaissances, on doit incliner â croire que le feldspath est le type spécifique du jade d'Orient. Il n'existe en effet d'autre motifperemptoire cons re la réunion que l'analyse de M. 'Théodore de Saussure.
«A cet égard, il faut considérer que le feld- cl spath compact prend en certaines localités las tena_cité,'la pesanteur, l'infusibilité, l'apparence ceroide , et jusqu'aux teintes pâles et adoucies Kea
du . j i.de d'Orient. Ces ressemblances sont si sl grandes, que lorsqu'on a successivement decou• ire vert ces variétés remarquables près de Genève, 'an Saint-Bernard , en ]piémont , en Corse , au 116, Hartz et en Finlande, ce n'est point au feld- tt1o, spath compact qu'on les a rapportées, mais bien au jade d'Orient. Par la suite, l'évidence des in- tete, ductions fournies par l'analyse chimique, par la
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