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s'applique pas moins facilement aux autres hypothèses sur la nature de la murrha, M. de Rosière, qui semble l'avoir prévue , a pu ne pas se croire obligé de la prévenir. Du reste, je dois avouer qu'en relisant les passages oü les anciens ont parlé de la matière murrhine, j'ai été beaucoup moins frappé des difficultés que de la manière exacte dont cette supposition paraît s'appliquer aux descriptions de Pline , dont elle peut même servir à expliquer les endroits obscurs. Il y a peu d'hypothèses qui donnent lieu à la même observation.
Si la pierre de iu n'a pu être la substance nommée murrha par les anciens, je ne prétends pas pour cela qu'elle leur ait été entièrement inconnue. Je vais chercher , dans ce dernier article , quelle dénomination ils ont pu lui assigner ; et ici du moins j'aurai l'avantage de me rapprocher de M. Hager , tout en différant encore de lui sur plusieurs points essentiels, et même en parvenant i un résultat analogue, par des moyens presque opposés.
En réunissant comme variations d'une même
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