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0243 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
インドからバクトリアのタキシラに到る古道 : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / 243 ページ(カラー画像)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

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N

Nddzr (ar. : précieux, hors-pair •); NÂDIR-SHÂH, roi ¢e Perse (1688-1747), 366-7; précédent roi d'Afghânistân, père du souverain actuel, S. M. ZaherShâh, 145. 391; Nâdir-teppeh, tumulus voisin de Balkh, 68, 169, fig..19 et pl. 22 / et g.

Naga, génie-serpent habitant des' eaux dans les croyances populaires indiennes, 131-2, 255, 264, 333; — Apalâla, 255; — Gopâla, 152, 255; — Elâpatra, 42, 156, 215 n. 7, 255; — de T6p-Darrah, 142, 278.

Nagara-dêvatd (ski. . incarnation divine d'une ville ■), type connu sur les monnaies et sculptures du Gandhâra, 264.

Nagarahâra, ville ancienne remplacée auj. par Jelâlâbâd (s. v.). 149, 152-3, 172-3, 273, 277; surnommée par étymologie populaire Dionysopolis, 365.

Naiyâyika (ski. s adepte du Nyâya • ou Dialectique), logicien, 322.

NANDIN, le taureau de Çiva, 263; cf. 26o et 262 n. x8.

Nau-riez (p. s jour du nouvel [an] s) rationnellement fixé en Irân à l'équinoxe de printemps, 99; cf. 76 et 266

Nava-karmika (ski. littt . Celui qui s'occupe des travaux. neufs .), n. donné aux architectes et surintendants des bâtiments dont le rang et le rôle semblent avoir été considérables dans l'Inde s'il faut en croire les inscriptions kharoshthi (Corp. Inscr. Ind. II, 1, à l'index) et brdhmi (no 183 de Barhut s. v.), ainsi que le Milinda-panha (Iv, 7, r), 85.

Nava-vihâra (en ar. Nau-behâr) ou, mieux, NavasasIghârâma, le s Couvent Neuf . de Balkh, 6g-7o, 84.

Ndylb-el-fiukûmat, titre équivalent à celui de gouverneur général ou de vice-roi, 117, 119, 165, 2S9

  1.  

Nazar (p. nazr), présent ou offrande venant d'un inférieur à un supérieur et que la coutume veut que l'on apporte quand on a obtenu une audience, 326.

NÉARQUE, l'amiral crétois d'Alexandre et son cabotage le long de la côte Nord du Golfe Persique, 192, 195•

Nicée (gr. Nikaia) d'Afghanistan, localisée (v. la carte de la p. 204), 35, 149, 205.

Nijrâb, prononciation locale Nijrâv ou Nijrâo (vallée de), 34, 50, 149, 254, 256; état encore indépendant au xIe siècle, 251.

Nimbe (origine picturale du), 338.

Nimla (jardin moghol de), 34; stûpa de —, 148, 158

  1.  

Nirydtana et nirydtita (skt. dans le sens de s restauration a et . restauré a) 278, 283 D. 14.

Numismatique (évolution de la) dans l'Inde du Nord, 339, 344, 350, 382.

Nysa (vallée et bourgade de), encore â identifier dans le Bajaur (s. v.), 208, 260.

Ntlristân (p. s pays de la lumière s), nouveau n. du Kâfiristân, 172, 179, 254, 308.

O

Obeh, bourgade de la vallée de l'Héri-Md, ancien Aufa d'après l'Huddd-al-'Alam (trad. V. Minorsky, p. 343)

et identifié localement avec Alexandrie d'Arie. Alexandre ayant consulté ses généraux sur le site de sa nouvelle ville, ceux-ci lui auraient répondu en persan moderne : s U beh : celui-ci est bon ), d'autres entendent . meilleur (behtar) s, 9.

Oikouménl (gr. . la (terre) habitée s), conçue par les géographes anciens comme une zone tempérée mitoyenne entre les régions septentrionale et méridionale que l'excès du froid ou de la chaleur rendait respectivement inhabitables, 4.

Or-mur (pash/u, donné comme équivalent du p. chirâghkush, s. v.),256, 26z n. 11.

Orthostanum ou Ortospana (essai de localisation d'), 213 S.

Otages chinois de Kanishka, leur résidence â Kâpiçi, 140, 163, 171; pl. 4 b et 29 c.

Oxus (moy-ir. Vals, skt. Vakshu), le grand fleuve formant la frontière Nord de l'Afghanistan, auj. l'Amû-daryâ oui Jihûn, 16, 116, 230, 242.

P

PAÇUPATI (ski. s le Maitre du bétail •) un des noms de Çiva, 261, 356.

Pdçupata (skt. dérivé du précédent) membre d'une confrérie d'ascètes çivaites, 259, 263, 288.

Pamghân (montagnes de Pamghân ou), résidence d'été de la cour afghane, 28, 139, 171-2, 232, 234, pl. 29 b et c.,

Pahlava (forme moy.-iran. et moy.-ind. du n. des Parthes s. v.), 220 s. Son emploi par Firdaust pour désigner les personnages de la légende iranienne a donné au dérivé Pahlavdn le sens de r champion a, qu'il s'agisse d'un héros ou d'un simple lutteur. La langue pahlavi (vulgo pehlvi) lui doit aussi son n., 300-I, 364-5.

Pahlavân Ahmed-é-Zamchi (zydrat de), dans le Fort de Balkh, 72, 165, pl. 9-ro C.

Paisah (anglo-ind. pice), piécette de cuivre dont on compte soixante à la roupie, souvent représentée à Balkh par des monnaies anciennes, 70.

Païtâvâ (stûpa de), dans le voisinage de Kâpiçi, fouillé par J. Hackin, 215, 121 n. 17, 145, 351 n. 2.

Paktyiké d'Hérodote, 198, 235. V. Pathân.

Palmyre, ville ruinée de la Syrie, auj. Tadmor; son commerce avec l'Inde, 326-7, 353 n. 17; rapports de son art avec celui du Gandhâra, 324-5. 352 n. 13.

Pansa-tantra (ski. . les Cinq livres .) célèbre recueil de contes indiens traduit en phi. au vIa siècle, avec une préface émouvante, par Barzoe, 301.

Pandit (ski. pandita), n. générique des lettrés indiens, 231, 251, 272, 300; devenu au Kaçmtr synonyme de brahmane, 263.

Pani (skt., de la racine pan, ,I marchander n), n. probable de la classe marchande du bassin de l'Indus, transformée en une horde d'avares démons par la phraséologie des hymnes védiques, r8r, 357.

PAVINI, le grand grammairien indien natif du Gandhâra, 256, 259, 271, 319, 360, 364.

Panjâb (litt$ les s Cinq eaux s, entendez les Cinq rivières affluents de gauche de l'Indus), région la plus

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