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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 | |
五百の物語と寓話 : vol.4 |
206 TSA PAO TSANG KING (N°' 401-402).
nipotino, avec observations de Gaston Pâris (dans Romania, X, p. 6-9); Kathâman"jars tamoule (traduction anglaise d'extraits par Rajagâpola Mudaliyâr; reproduite pour notre conte dans Ars Asiatica, II, p. 6, n. 2) ; frères Grimm, Kinder- und Hausmärchen, n° 78; Bernhard Schmidt, Griechische Märchen, Sagen und Volkslieder (Leipzig, 1877, p. 2 6) ; Dozon, Contes albanais (Paris, 1881, n° 19, p. i 63-138). — Cf. W.-A. Clouston, Popular Tales and Fictions, Londres 1887, vol. II, p. 372 et suiv. : The ungrateful son. Dans son livre sur Les fabliaux (ire édition, p. 167 et 168, et 2 e édition, p. 201-202 et p. 463-464), M. Joseph Bédier estimait qu'on ne pouvait citer de ce récit aucune forme orientale; on voit que cette opinion ne pourrait plus maintenant etre soutenue.
T. III, p. i 4-1 5 .
Trip., XIV, 10 , p. 6o v° = Avadeina çataka, trad. Feer, p. 120.- 122.
Cf. le n° 124.
Sivan tsi po yuan king (Trip., XIV, 10 , p. 76 e-77 re) , on le récit est fort semblable à celui que nous avons ici. Mais, dans l'Avadâna çataka (trad. Feer, p. 297-30 1) , nous trouvons de notables différences : la fille a été mariée par surprise à un marchand étranger nommé Ganga qui ne savait rien de sa laideur physique; d'autre part, quand la jeune femme a reconnu les inconvénients de ses difformités, elle se pend; le Buddha lui-meme détache le lien qui lui enserrait le cou; elle fait des offrandes au Bhagavat et c'est alors qu'elle devient belle. — Dans le Hien yu king (Trip., XIV, 9, p. 1 o v°-11 r°, cité dans XXXVI, 4 , 20a, et cf. I.-J. Schmidt, Der Weise und der Thor, p. 45-51), la fille laide du roi Prasenajit est appelée P'o-chô-lo (Vajrâ); sa mère n'est autre que Mo-/i (Mâlint).
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