国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Mission Scientifique dans la Haute Asie 1890-1895 : vol.2 | |
1890-1895年の高地アジアにおける科学調査 : vol.2 |
LE TURKESTAN CHINOIS ET SES HABITANTS. 313
des mots le son r est souvent remplacé par le son a:, colline, se prononce kia.
mî, pour mir.
asp perâkhlamak, pourr}1.) j perdâkhten,
Tes Abdal substituent toujours dans les verbes la terminaison turque â la persane.
srouk, c'est le persan • , souroukh = rouge.
Le maïs, c'est le millet rouge ; djouvari souroukh.
sibit P. sib.
M
grouklaa hmkP. d'e gerîkhten = fuir. khourlamak P. v).)~ khourden = manger.
chined lamak P. v),)< ~} tchîn kerden —
cueillir. .
gouverneur, bek seller un cheval maïs | ü~ |
pomme s'en aller manger apporter |
Les Abdal emploient quelques mots arabes qui ne sont pas connus dans le Turkestan :
viander~, lahm mourir ~1,,V~`,, mât-lamak.
galtd malade est peut-être l'arabe djalid, décharné.
•
Le mot paizé, ordre, est chinois (p'ai tzeu) et, d'ailleurs, est d'usage courant parmi la masse de la population indigène.
Un petit nombre de termes, en dehors de ceux empruntés au persan, sont communs aux Tsiganes et aux Abdal.
Choumoul aliment, nourriture (cliamoul en tsigane)
Aassut ou arsut, pain (en tsigane charsit) probablement comme le précédent de la racine indienne chu manger.
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